Juste un petit coup de pub pour mon autre blog, celui ou je dessine:
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N'hésitez pas à venir me rendre visite, ça me ferait plaisir : )
publié le 27/06/2007 à 13:55 par
climou
Voici le premier résumé d'un jeu que certains attendent beaucoup sur Wii, Splinter Cell Double Agent. Vous avez vu le titre, c'est pas une bonne nouvelle (même si ça commence plutôt bien, vous allez voir...)
Premier témoignage sur Splinter Cell : Double Agent Wii !
Dire que certains sont chanceux relève parfois de l'euphémisme. Prenons par exemple le cas de Chris Kohler. Notre homme se trouvre être, avec deux autres, la première personne au monde hors de Ubisoft Montréal à toucher Splinter Cell : Double Agent. Impressions sur cette version quasi-finale.
Intéressons-nous tout d'abord aux contrôles : le joystick du nunchaku sert sans surprise à déplacer Sam Fisher, tandis que la wiimote est utilisée pour orienter la vue. Petit détail intéressant, si vous vous déplacez alors que la zapette pointe en dehors de l'écran, la caméra se placera automatiquement dans votre dos.
Bien évidemment, le pointeur sert également à viser lorsque vous sortez une arme. Un certain nombre d'actions sont à effectuer en secouant le nunchaku vers le haut, vous pourrez grimper sur les murs, vous accrocher aux tuyaux, etc.
Cependant, il apparaît que, même si elle est légèrement supérieure techniquement parlant aux versions PS2, Gamecube ou Xbox, la version Wii découle directement de celles-ci. En effet, après y avoir joué environ 30 minutes, le journaliste garde une arrière-goût de déception dans la bouche.
Mises à part les actions citées plus haut, les reste des mouvements de Sam est commandé par les boutons de la manette. Chacune des directions de la croix ou des gâchettes sert pour un mouvement spécifique. Apparemment pas du tout intuitive, cette disposition semble avoir été étudiée pour la PS2, et adaptée à la Wii.
De retour chez lui, Hohler s'assied devant la PS2, et constate avec déception qu'un passage un peu délicat du jeu sur lequel il avait buté plusieurs fois sans succès avec la version Wii était nettemet plus facile ave la console de Sony. Décevant.
Pour conclure, le chanceux journaliste regrette qu'une version entièrement spécifique à la Wii n'ait pas été développée, comme pour la Xbox 360, car le potentiel d'un tel jeu sur cette console serait tout de même plutôt intéressant.
Source:
LiveWii.fr
C'est une very bad news. Non pas que ce soit la cata qu'un Splinter Cell soit foiré, ça à la limite c'est pas le plus important, mais même si Ubisoft, éditeurs tiers le plus fidèle à Nintendo ces derniers temps, commence à nous pondre des portages absolument merdiques, ça n'annonce rien de bon...Les développeurs ne prendront pas le temps de faire un jeu spécifique Wii et au final la Wiimote ne serviras plus à rien...Et une console peu puissante et sans originalité, même avec des licences majestueuses, ne feras pas long feu. Quoique...
publié le 27/10/2006 à 10:46 par
climou
Ayant lu le test du fameux PES 6 sur 360 sur jvcom (dont je ne mettrais aucun lien, aucune pub rien, ils méritent que dalle), je commence à avoir de sérieux doute sur la qualité du hit en puissance. Certes jvcom est loin d'être la référence en matière de test, mais alors comment expliquer un écart de 3.5 points entre les notes PS2 et 360? Je suis pas accros des notes, mais force est de constater que l'écart est bel et bien la. Alors en lisant le test, on se rend compte que le mode entrainement sur 3.6 est largement diminuer par rapport à la PS2, qu'il n'y désormais plus que HUIT stades dispos contre 33 sur la station de jeux, excusez du peu!! 25 Stades de différence? C'est quoi cette arnaque?! Et tout ça pour une amélioration graphique nettement discutable...J'en passe et des meilleurs
Bon maintenant, les points positifs. PES reste un PES (d'après Jvcom toujours) donc les animations et le gameplay hardcore gamer est toujours la (moins que sur la concurrence, mais la quand même). Konami ne semble franchement pas s'être sortis les doigts du cul pour la version Xbox et c'est bien dommage. Il ne reste plus qu'a espérer que les manques soit téléchargeable via le Xbox Live, mais pour ceux qui ne l'ont pas, ils l'auront forcément dans le cul...
Reste donc à attendre les tests de Jeuxfrance et Gamekult...Quoiqu'il arrive, il seras miens le 26 Octobre (si pas de retard). Je verrais alors par moi-même ce que vaut un PES.
publié le 24/10/2006 à 14:57 par
climou
Attendre encore 45 jours, c'est insoutenable O_o La patience est loin d'être mon domaine, alors 45 fois 24h j'trouve ça insurmontable. Mais en même temps, quand on y seras, j'me dirais une phrase à la con du style putain, c'est passer vachement vite en fait et j'aurais amèrement regretter d'avoir voulu que le temps passe plus vite...La vie est courte alors profitons de chaque instant
publié le 24/10/2006 à 13:39 par
climou
Les amateurs de Samus sur Gamecube le savent bien, la jouabilité des Metroid Prime n'est pas à la portée du premier venu. Maitriser Mlle Aran demande une certaine dextérité...Une fois appris en revanche, c'est le pied total! Enfin bref, d'après ce screen, le Metroid Wii serait forcément plus maniable que ceux de sa grande soeur la NGC. Wiimote oblige!! En tout cas, ce genre de photo ne fait que nous donner encore plus envie de tâter le nouvel opus de cette grande saga mythique o_O
[img=longueur]http://document.nintendo-difference.com/4851/imgs/1.jpg[/img]
publié le 07/10/2006 à 20:25 par
climou
La démo du célèbre jeu de foot est dispo depuis peu sur le Market Place de la Xbox 360. Après plus d'une heure de téléchargement j'ai enfin pu y gouter. Le jeu est beau, fluide et proche d'un soft simu, donc proche d'un PES. Enfin je suppose, ayant peu joué à PES j'en sais trop rien, même si les différences sont nettement visibles par rapports aux autres FIFA (chiant et barbant, il faut bien le dire). Quoiqu'il en soit, j'espère qu'une démo de PES 6 seras dispos d'ici peu, si quelqu'un a des infos à ce sujet qu'il n'hésite pas
publié le 06/10/2006 à 20:09 par
climou
Voila un test, à ma façon c'est à dire absolument pas sérieuse ou professionelle et totalement non exhaustive du plus grand Zelda à ce jour (et en attendant Twilight Princess).
Si vous trouvez ça à chier, n'hésitez surtout pas à le dire, je m'en remettrais.
Ah par contre, inutile de me faire remarquer mes célèbres fautes de grammaire ou de conjugaison, chuis déjà au courant
[img=longueur]http://www.zeldaho.net/images/games/ocarina_of_time/logo.jpg[/img]
Alors ça pour une idée d’génie!
Tester Ocarina Of Time…Un truc de fou, pourquoi ça tombe sur moi ? Parce que je vous l’ai demandé ? Mouais ça se tient. En tout cas me voila bien barré pour une folle semaine d’écriture, peut-être moins si j’ai l’inspiration, on a le droit de rêver. Raconter en quelques phrase la mythologie et la magie que dégage ce titre révèle de l’exploit, m’enfin bon. J’vais ressortir le jeu déjà, histoire de me remémorer quelques trucs, même si ça fait pas longtemps qu’j’y ai joué finalement. Ah la la, quel jeu! Le plus beau Zelda ? Pour l’instant oui, tant que Twilight Princess n’est pas sorti en tout cas. Allez, finissons vite fait bien fait cette intro merdique et passons aux choses sérieuses.
Le Héros du Temps.
Comme d’hab’, le personnage principal de l’histoire est un Link (je dis bien « un » Link car ce ne sont pas forcément les mêmes à chaque épisodes), qui parcourras la plaine d'Hyrule afin de sauver le pays et les Hyliens par la même occasion. Je sais pas pour vous mais rien que le mot « Hylien » me remémore des souvenirs de fou. Tout commence dans la Forêt Kokiri, au petit matin. Un jeune garçon dort, en tout cas essaye. Ces cauchemars le hantent chaque nuit…un Cavalier sombre marchant à travers les flammes. Mauvais présage ? Destin ? L’avenir ne tarderas pas à le lui faire savoir. Dès son réveil (forcé, il faut bien le dire par cette petite c@$£e de Navi), Link devras faire coucou au Grand Arbre Mojo, qui lui expliqueras de façon brève et précise la Légende du coin. Les trois Fées qui créèrent la Terre sur laquelle ils vivent (petit rappel des faits, il s’agit de Din, Farore et Nayru, déesses respective de la Force, le Courage et la Sagesse) . Elles regagnèrent les cieux et laissèrent derrière elle la fameuse TriForce, symbole sacré qui donna prospérité et joie au peuple d’Hyrule. Evidemment, tout n’étant ni tout blanc, ni tout noir, il y a forcément un péquenot pour foutre le boxon dans tout ça. Et le péquenot de service est un sombre Sorcier Gerudo, qui cherche à s’emparer de la relique Divine afin d’être hyper puissant et de contrôler le monde, la routine habituel chez les super vilains. Lui c’est Ganondorf, évidemment, les célèbrissime ennemis des Links (notez le pluriel).
Voilà donc notre jeune Héros prêt pour affronter le Malin qui hante ces cauchemars, ceux de l’Arbre Mojo et la Terre d’Hyrule. Rien que ça.
L ‘Histoire devint une Légende, la Légende devint un Mythe
Ca fait classe hein, une citation du Seigneur des Anneaux? Arf, mais j’utilise encore le mot « mythe » dans un test. C’est pas ma faute si j’achète que des jeux mythique, bon, excellent voir parfait. Et Zelda : Ocarina Of Time fait parti de cette caste de jeu parfait, mythique, bon voir excellent. Le jeu ultime auquel on ne trouve strictement rien à lui reprocher, même en cherchant pendant deux heures. Parlons peu mais parlons bien. Niveau jouabilité, Nintendo pose la un bloc de 2,5 giga tonnes et de 15 000 mètres de haut à peu près. Le genre de jouabilité qu’on admire de par sa prestance et qu’on ose pas toucher parce que c’est tellement beau et admirable qu’elle est très bien la ou elle est. De toute façon elle fait 2.5 giga tonnes donc on ne doit et on ne peut y toucher. Tout en elle est intuitif, la manette de la N64 semblait être conçue spécialement pour ce jeu. La manette de la N64 semblait être conçue pour tout les jeux de la N64 digne de ce nom de toute façon. Faut avouer qu’il était vachement bien ce pad. Enfin bref, retour à la maniabilité de Ocarina Of Time. Stick pour bouger, bouton C pour l’inventaire (ultra intuitif, un môme de 8 ans saurait s’en servir !) bouton A pour causer, ouvrir des portes etc (Un des premiers jeu à prendre UN bouton pour plusieurs actions, le bouton changeant de fonctions selon les objets devant lesquels on se trouve, un must O_o) et le bouton B pour le bouclier. Rien de plus simple vous dis-je ! Et comme ça au moins, on passe pas 5h à tenter d’essayer d’apprendre à jouer, on est direct dans le bain et y’a même de la mousse tellement c’est bon.
En route pour l’aventure !
Link, armé de l’épée Kokiri, au départ de l’aventure, part donc en quête du bien. Avec pour seule aide, une Fée qui volètent sans cesse autour de soi et un Hibou qui parle trop. Dit comme ça, ça donne pas envie d’y jouer c’est sur, pourtant je défie quiconque d’y jouer de pas y rester scotcher (pour le peu qu’on aime le genre, et les jeux vidéo surtout ). Une fois le premier donjon finit, on fout le pied dans la plaine d’Hyrule après une cut scène qui resteras dans les mémoires de tout les fans. A l’époque, la Nintendo 64 était la console la plus puissante du marché, et les graphismes étaient tout simplement bluffant. De plus, Ocarina Of Time est le tout premier Zelda en 3D. Public scié, c’est beau, c’est vaste, on voit tout au loin de la plaine, on est complètement dedans, l’immersion est totale ! Eclairage, musique et…gestion du jour et de la nuit O_o ce qui peut paraître
ormal aujourd’hui dans un tel jeu était à l’époque une réelle évolution ! Un miracle presque. Qui n’as pas passé 1h36 minutes et 20 secondes à regarder la Lune passer dans le ciel ou admirer un lever de soleil au Lac Hylia ? Hein ? Et il suffisait d’appuyer sur C Haut pour avoir la cerise sur le gâteau…le mode caméra. Non seulement on pouvait admirer les décors sans aucune indication à l’écran (pas de plan, de persos, d’icônes etc), mais en plus on pouvait faire des cadrages digne de Steven Spielberg et se péter des gros films durant les phases de visites. En tout cas, c’est ce que je faisais, surtout au Village Cocorico et au Lac Hylia. On se prends pour un réalisateur. Enfin bref. Tout ça pour dire que, à l’époque toujours, découvrir un monde en 3D sur console de salon aussi vaste, aussi riche et aussi beau, c’était tout simplement génialissime. Ce n’est pas pour rien que Ocarina Of Time a marqué toute une génération de joueur, et continue d’ailleurs de le faire puisque le jeu est ressorti avec l’épisode Wind Waker (magnifique soit dit en passant) et en cadeau bonus, s’il vous plait !
Ca y est Maman ! J’ai du poil au menton !
Il sont rares, les jeux ou le Héros principal change de tronche au cours de l’aventure. Pourtant ici, c’est bel et bien deux Link que vous aurez à diriger. D’abord petit au début de l’Aventure, Link grandiras par obligation, puisqu’il seras confronter à un voyage spatio-temporelle. Ou est la DeLorean Doc ? Le changement physique et vocal donne du renouveau à l’aventure et étonne le joueur, qui n’avait encore jamais vu de Link adulte. Presque adulte en fait, puisqu’il ne voyage que de sept années dans le futur, atteignant donc l’âge de dix-sept ans lors de l’arrêt de la DeLore…hum, Marty ? !
Allez Hue Jolly Jumper !
Grande (autre) nouveauté dans ce génial Ocarina Of Time, le cheval ! Durant les premiers temps, et Link étant tout petit, pas de cheval à disposition. Ce n’est qu’une fois devenu adulte (enfin, adulte…je vous rappelle qu’il n’as que 17 piges quand même) vous pourrez alors chevaucher Epona . De grands moment en perspective. La plaine étant assez imposante, le cheval ne seras pas de trop pour rallier un endroit à un autre. Tout simplement grisant ces voyages. Et parfaitement bien rendu. On se demande d’ailleurs comment ils ont fait pour nous faire ressentir autant de sensation avec juste un pad dans les mains. C’est limite si on a pas mal au cul en éteignant sa console.
Ta di dou, ta di dou, ta di dou di dou di douuuu !
Vous aurez reconnus sur ces quelques notes de musique, le Chant des Tempêtes. L’occasion pour moi de parler des….musiques ! Tadadam ! Sans être omniprésente, la musique joue ici un rôle important. Relisez le titre du jeu pour commencer. Ocarina Of Time. L’Ocarina (du temps donc) est un instrument de forme ovoïde ou il faut souffler dedans pour faire de la musique, comme beaucoup d’autres instruments d’ailleurs. Ici, les mélodies et autres chants auront des pouvoirs et vous aideront grandement à finir le jeu. De toute façon vous n’aurez pas le choix de les apprendre. Ainsi la Berceuse de la Princesse Zelda (hé oui, Zelda c’est la Princesse, c’est pas le Héros du jeu ) vous permettras de parler à certaines personnes et d’ouvrir des passages secret. Le Chant du Temps vous feras voyager dans…le temps, et le Chant du Soleil vous feras passer du jour à la nuit, et de la nuit au jour etc etc. Il y auras bien d’autre mélodies au cours de l’aventure, qui permettront notemment de se téléporter afin de ne pas avoir tout le pays à traverser. Quand aux musiques du jeu à proprement parler, elles sont magistrales. Koji Kondo, fidèle compositeur Made In Nintendo, s’est transcendé. Lorsqu’on arrive sur la Plaine, on en prends plein les oreilles, la musique entre tout de suite dans la tête et les chevauchés avec Epona deviennent tout simplement épiques ! Les thèmes bien connus de Zelda sont bien évidemment présent et remise à jour. De nouvelles musiques, devenues cultes aujourd’hui, sont apparus lors d’Ocarina Of Time, tels que le thème de la Vallée Gérudo ou encore la musique dans le moulin du village Cocorico. En tout cas, on ne se lasse pas de ces musiques, de véritable chef-d’œuvre qui sont parfois re-orchestrées par les plus grand orchestre symphonique (notamment celui du Japon pour le concert SSBM).
Les meilleures choses ont une fin.
Tout comme ce test, même s’il n’est pas meilleur en tout cas il auras une fin . Maintenant faut trouver une conclusion à tout ce que j’ai dit. Mis à part que ce jeu est un monument (2,5 giga tonnes, 15 000 mètres de haut, n'oubliez pas) et est un hit en puissance, qu’il est difficile d’être passé à côté, qu’il est magique et a rempli des milliers d’yeux d’étoiles, je vois plus trop quoi dire. Ah bah ça y est, on dirait que je la tient ma conclusion. J’espère vous avoir donner envie d’y (re)jouer en tout cas.
publié le 05/10/2006 à 15:53 par
climou
En effet, selon le site de vente de jeux de Sony himself, les jeux PS3 ne couteraient que 59,99$. Or, et on l'a très bien vu ces derniers temps, les jeux Wii des éditeurs tiers seront vraisemblablement à 69,99€. Ajoutez à cela des graphismes dignent d'une Dreamcast anémiques et un prix ma foi toujours aussi cher pour ce que ça vaut et vous obtenez une future arnaque made in So...he bah non, made in Nintendo c'coup ci.
M'enfin, rien d'officiel encore, espérons toujours...mais Nintendo a vraiment l'air de se foutre de notre gueule, je vous épargne les multiples promesses non tenues hein (Opera gratos, mon oeil...).
publié le 27/09/2006 à 09:27 par
climou