Bah perso moi je trouve ce jeu plutôt très sympa... Les Graphismes sont super, les unitées bien modélisées comparé à Générals où les infanteries ressemblent à des batonnets... Le gameplay est basique, jouable pour tous. Le scénario est très bien réalisé, surtout bravo pour le film qui passe parallèlement à la campagne. Dans l'escarmouche, certes il y a pas beaucoup de maps, mais on peut compenser cela grâce aux patches déja sortis et à venir. Passons aux défauts du jeu... Histoire américanisée, le monde est en danger et comme par hasard, quelle nation va sauver le monde ? Les américains ^^. Ensuite la difficultée est très bien pour s'adapter mais elle est facilement maîtrisable en quelques jours voir quelques heures... Voilà ce que je pense de ce jeu. Beau mais c'est toujours américain quoi... Dommage...

Bénéficiant d'une histoire qui n'est pas sans rappeler les contes de notre enfance, Keepsake est l'un des rares jeux d'aventure à être adapté au jeune public grâce à son aide intégrée qui permet de ne jamais être bloqué. Bien sûr, si vous êtes un joueur confirmé, on vous conseille de ne pas l'utiliser. De plus, et si vous faites partie de cette catégorie de personnes, vous regretterez certainement que le travail soit mâché à cause de l'utilisation automatique des objets de l'inventaire. Cependant, on veut tellement savoir ce qui est arrivé aux élèves de l'école, et découvrir le fin mot de cette jolie histoire que l'on pardonnera aisément les quelques défauts du titre pour n'en retenir que l'essentiel : le scénario, vraiment plaisant.

Pas mal... mais peut mieux faire. Je ne suis certes pas fan de l'ambiance urbaine et hip-hop, j'ai tout de même remarqué une fidélité inégalée grâce à l'originalité du titre. On s'immerge complètement dans le monde, mais on perçoit au bout que quelques petites heures de jeu seulement un manque de liberté. On sent que l'évolution du jeu est linéaire, et on aurait bien voulu une ville entièrement parcourable afin de trouver des missions, plutôt que de devoir suivre bien gentiment les conseils de toto le graffeur. Niveau graphismes, ça laisse un peu à désirer comparé à des jeux comme Black qui nous arrivent en ce moment même. Pour les musiques je ne pourrais pas vous dire vu que je suis un grand paumé dans le genre, mais les doublures sont pour peu dire charismatiques. Idéal pour les personnes qui trouvent le concept intéressant, risible pour les fans de liberté made in GTA, ce jeu plaira sans doute grâce à son originalité, mais sera vite rangé au placard pour cause de répétitions agaçantes

Des modes de jeu marrants, un éditeur de circuit simple à prendre en main, une réalisation honnête, Crashday avait quelques atouts à faire valoir. Hélas, le côté fun est totalement annihilé par un pilotage qui ne l'est pas du tout. La conduite est
aide, sans saveur, ce qui est quand même très gênant pour un jeu de courses. En plus, la difficulté est assez mal dosée et certaines épreuves sont carrément inhumaines. Quelque chose d'un peu plus progressif n'aurait pas été du luxe. Non décidément, et malgré quelques points positifs, Crashday ne nous aura pas laissé un souvenir impérissable.

Comme sur consoles de salon, l'opus DS de Tak : The Great Juju Challenge est un petit jeu de plates-formes sympathique qui ne fera néanmoins pas d'ombre aux ténors du genre sur la portable de Nintendo tel que peut l'être le grand Super Mario 64. On regrettera surtout sa durée de vie bien trop faible et l'absence de mode multijoueur qui aurait apporté un plus non négligeable. Reste un titre bien réalisé qui parvient à nous faire passer quelques heures agréables, mais trop vite passées, en compagnie de deux personnages attachants.

America's Army : Rise of a Soldier n'est que très peu intéressant en solo à cause de ses missions peu originales et de son IA lacunaire. En outre, la réalisation laisse à désirer surtout lorsqu'on a pu voir avec Black ce que la console a dans le ventre. Reste un mode multijoueur pas désagréable mais insuffisant pour remonter le niveau d'un jeu très moyen.

La sortie de Lemmings sur PSP devrait à la fois combler les nostalgiques du jeu d'origine et séduire ceux qui n'ont pas encore eu l'occasion de s'y essayer. Le concept n'a rien perdu de son charme et se révèle d'autant plus efficace sur PSP qu'il comporte quelques nouveautés : une réalisation technique et sonore entièrement remaniée, des stages inédits et un éditeur de niveaux qui permet d'échanger ses créations sur le net

Les graphismes de haute volée et les décors interactifs et vastes sont un bon atout à ce jeu. La maniabilité par contre peut rebuter plus d'un joueur au départ. Car quand le premier coup d'un enchaînement est passé tout le reste suit sans possibilité d'arrêter le massacre. D'un autre côté pour jouer entre amis j'ai trouvé cela agréable car même si un des joueurs a un avantage flagrant en points de vie, il suffit de passer un enchaînement pour garder le suspense jusqu'à la fin. On a jamais gagné tant que l'adversaire est debout. Le système de garde et de contre est une bonne chose. Difficile à exécuter au départ mais au fil des parties on arrive à les sortir et à partir de ce moment les joueurs sont beaucoup plus circonspects dans leurs attaques. Par contre un gros bémol c'est le boss de fin. Il est frustrant de commencer un enchaînement, qu'il arrive à le bloquer et fasse une prise qui enlève 60 pour cent des points de vie d'un coup. Il suit généralement un déluge de coups qui enlève les 40% restant. En bref il suffit qu'il vous touche deux ou trois fois (et pour chaque touche il suit 9 autres coups) pour vous éliminer. La durée de vie quant à elle est bonne. Car pour arriver à débloquer tous les persos (surtout Tengu), les costumes et le décor tatami par exemple ça prend pas mal de temps et de crises de nerfs face au boss final ;-)

On trouve quantité de choses remarquables à Los Angeles. Le Convention Center, le Pier de Santa Monica, les studios Universal, le quartier de Beverly Hills et celui de UCLA avec sa myriade d'étudiants et son Medical Center dont le service des urgences en laissera plus d'un sur son séant. Mais dans le cas qui nous intéresse, le lieu remarquable de la ville des anges se situe quelque part sur Glendon Avenue, dans l'immeuble qui abrite le studio Pandemic, là où se peaufine la suite de Full Spectrum Warrior, le jeu qui va enfin révéler son potentiel réel et laisser derrière lui les frustrations qui l'alourdissaient. Travaillant cette fois sans avoir à s'encombrer des exigences de l'armée, Pandemic nous explique par la voix de William Stahl (directeur créatif), avoir enfin la possibilité de faire un jeu et plus une simulation rigoureuse de situations de guerre. Etrangement, c'est en devenant un vrai jeu que FSW se met soudainement à offrir un véritable challenge tactique, et à voir son niveau de difficulté augmenter là où l'on reprochait au premier volet de n'être qu'une succession de puzzles beaucoup trop évidents à résoudre. Destiné au grand public c'est pourtant auprès des amateurs de tactique que le jeu a connu le succès, des amateurs qui n'ont pas manqué de se plaindre et qui devraient cette fois être satisfaits du résultat.

Pas aussi prolifique qu'une série comme Final Fantasy, Grandia n'en est pas moins un nom qui résonne comme une symphonie dans le coeur des amateurs de RPG. Même s'il n'est pas encore confirmé en Europe, le troisième opus a d'ores et déjà su attirer l'attention des joueurs par l'intermédiaire de vidéos somptueuses, mettant parfaitement en valeur le dynamisme des combats et la majesté des environnements. D'autant que l'équipe de Game Arts a pris son temps pour faire de ce troisième volet un RPG susceptible de concurrencer les meilleurs titres du genre. Rappelons que le développeur est connu pour la série des Lunar, mais surtout pour celle de Grandia qui a su marquer bon nombre de joueurs en seulement deux épisodes. Grandia premier du nom était sorti dans un premier temps sur Saturn, puis sur PSOne. Et à l'heure où les RPG japonais étaient une denrée encore plus rare qu'aujourd'hui sur le vieux continent, le fait de pouvoir savourer un titre de la valeur de Grandia avait de quoi redonner du baume au coeur. Les plus jeunes d'entre vous se souviendront plus facilement de sa suite, qui a vu le jour sur Dreamcast en 2001, avant d'être portée ensuite sur PS2 et même sur PC. A contrario, l'épisode intitulé Grandia Xtreme n'aura pas connu de sortie européenne, mais cet opus est réputé pour ne pas faire honneur à la série. Tous les espoirs reposent donc désormais dans ce fameux Grandia 3, dont les japonais peuvent se délecter depuis le 4 août et qui est déjà confirmé aux Etats-Unis pour début 2006. En attendant de savoir si nous aurons la chance, nous aussi, de nous y adonner, voici un aperçu de ce que nous réserve ce troisième opus.

C'est dans le studio finlandais de Bugbear que nous sommes allés à la rencontre d'une équipe actuellement en plein développement du second volet de Flat Out, titre qui fut l'une des bonnes surprises de la fin d'année 2004. A travers une présentation complète et quelques heures de jeu sur une version alpha, loin d'être techniquement achevée, nous avons pu nous faire une idée assez précise de ce que sera cet opus une nouvelle fois édité par Empire Interactive. Le premier constat que l'on peut faire est que Flat Out 2 va indéniablement conserver l'esprit totalement barré de son aîné, reprenant chacun des aspects qui ont fait son originalité en amplifiant leur impact sur le déroulement d'une course. Autrement dit, c'est la surenchère d'action et de folie qui devrait prédominer en conservant un gameplay aussi arcade que possible et surtout simplifié, afin que les courses soient un défoulement total du début à la fin, évacuant tout sentiment de frustration. Au niveau des supports, on ne changera pas les habitudes puisque Flat Out 2 est prévu sur PC, PS2 et Xbox pour l'été prochain et peut-être même pour le mois de mai si le développement n'est pas ralenti dans son actuelle progression. Objectif avoué : tenter de faire aussi bien (mieux, de préférence) que les 650 000 unités vendues de Flat Out premier du nom.

Etant sceptique sur les Castlevania en 3D, j'ai quand même acheté ce jeu. Ma surprise a été grande quand j'ai vu à tel point ce jeu est grandiose. Les combats sont nerveux et passionants, on peut utiliser plusieurs armes allant de l'épée à la hache, on crée ses armes, l'idée des invocations de différents types est géniale, les musiques sont parmis les meilleurs de la série, l'univers Castlevania est parfaitement respecté et le héros augmente de niveau (ainsi que les invocations) tel un RPG. Le seul reproche que l'on peut faire est sur les graphismes. En effet, les décors sont affreusement vides. En conclusion, ce jeu m'a vraiment emerveillé, autant que les castlevania 2D au moins. Je le conseille à tous.

Ha lala... Quel bon jeu franchement il est super même si je ne l'ai pas encore fini jusqu'à présent je le trouve génial. Voilà un jeu de la classe de Nintendo et de la DS. Les combats sont vraiment complets grâce à tous les objets frères et à toutes les combinaisons entres les 4 héros. Bref il est super. Mais ce que j'ai vraiment aimé c'est les dialogues des babys (meme si ils ne parlent pas, ils émettent des sons comme par exemple Peach bébé). Et les dialogues de Mario et Luigi, j'adore leurs voix.

Magique ! Ce rpg figure parmi les grands ! Les graphismes transportent tout de suite dans l'atmosphère du jeu. Les petites caractéristiques de chaque personnage les rendent tout de suite amicaux et agréables. Une histoire longue et passionnante sans être excessivement développée... Seul point négatif, et encore, la difficulté du jeu peut rebuter au premier abord, quoiqu'en disent certains. Le leveling-up est indispensable, et certains combats sont vraiment difficiles (Ondine, Sekundes, etc..). Mais la réédition de ce rpg ne peut être que bienvenue sur une portable en manque de ce genre de jeux. A quand Valkyrie Profile ?