La fenêtre du futur
Il y a de cela deux jours,
Quand j’écrivais pour vous une poésie vous donnant mon amour
Des mots et des vers
Qui font avancer cette Terre,
Je regardais par ma fenêtre,
A l’affût du moindre détail, prêtre
De mon imagination,
De ma création.
Je vis un petit village
Avec cette habitude, que je perds d’ailleurs avec l’âge,
D’ouvrir cette fenêtre,
Et de sentir cet air frais et parfumé
De cette plaine vaste remplie d’habitants prêts
A aider leur prochain,
Sans aucune autre faveur ou demande de pain.
Quand j’ouvris cette fenêtre,
Une lueur intense m’éblouie, ne pouvant plus voir le magnifique hêtre.
Je me cachai les yeux et j’avançai, passant par l’ouverture,
Voulant découvrir la source de cette lumière pure.
Quand j’atterris sur le sol,
Tout avait disparu, me laissant regarder le ciel.
Je compris alors que j’étais dans le futur,
Quand je vis les véhicules volants, ne ressemblant même plus à des voitures,
Le soleil tapait avec une force incroyable,
Couche d’ozone troué de partout, le ciel pâle.
Des nuages noirs tapissait l’environnement,
Dur à y croire, mais ce n’était pas mon raisonnement,
De mes propres yeux je les voyais,
Ces immeubles gigantesques,
Prêts à s’effondrer, tels des pastèques,
Sur le paysage dénudé,
De plantes et d’autres variétés.
Quand je me retournaispour repasser par la lucarne de ma maison,
Je vis un immeuble tout gris avec un fond noir.
Je passais par l’ouverture, revoyant cette lumière pure,
Signe de la résurrection de ma bonne vieille voiture.
J’atterris sur le sol, et me retournai, voulant savoir ce que renfermait cette fenêtre.
Le village était là,
Un homme avançait : le prêtre,
Les enfants jouaient dans les plaines, jamais las,
Le soleil se couchant
Sous le cri de joie des enfants,
Qui malheureusement perdront,
Quand l’autre vie commencera,
Celle de la haine et du chaos.
Bientôt je me présenterai dans la politique,
Changer cette Terre tournant dans un sens maléfique,
J’arrangerais tout,
Je sauverais le monde sans moues,
Personne ne me reconnaîtra,
Ne sachant mes biens faits, et là,
Je saurais que je l’ai fait pour nous,
Sans penser à quelconque célébrité,
J’aurais sauvé ce monde des fous.
Donnez votre avis, vous, voulant vous manifester pour affirmer ou contrarier mes dits. ( en même temps, si vous pouvez donner votre avis sur le poème...

)