Que pensez-vous de mes poèmes ?
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Le Blog Daisuke, Imagine. Les miens sont ceux où c'est marqué en-dessous de l'articles Jakal.
Merci d'avance !
MAJ : Les voici quand même :
L’homme au regard de mystère
C’était nuit noire,
L’homme se levait de sa chaise où, pendant la journée, il devait s’asseoir
Juste à côté de son tableau noir
Sur lequel il marquait les devoirs
Pour les enfants
De son établissement.
Il sortit
Un foulard gris
Autour de la tête,
Cachant ses yeux
Essayant de continuer sa quête :
Atteindre la porte de son appartement.
Avançant dans la nuit
Sans faire aucun bruit,
Passant de ruelles en ruelles.
Un chien buvait dans son écuelle
A côté d’une porte
Quasiment morte.
L’homme sortit sa clé,
Sans se soucier,
Que la porte était déjà ouverte.
La porte cassée,
Ce n’était pas une grande perte,
Il n’y avait rien à voler.
Mais c’est quand il entra
Qu’il entendit un bruit, un fracas.
Il enleva son foulard,
Découvrant son regard.
Au milieu des deux pupilles,
Un point rouge comme une boule dans les jeux de quilles.
Il fusilla du regard
Tous les recoins de son studio, un air hagard.
Quand il ouvrit la lumière,
Il découvrit des corps par terre,
Une vingtaine, en pack,
Tous morts d’une crise cardiaque.
Quand il leva les yeux
Vers le plafond, une banderole était accrochée.
Sur fond bleu était marqué
Joyeux Anniversaire
Notre préféré colocataire.
Là,
Une main se leva,
Elle provenait d’en dessous un bureau.
Un homme se leva,
Petit à petit, sans bruit ni fracas,
De sorte à ce que l’homme au regard tueur ne le remarque pas.
Il s’avança, n’ayant pas remarqué les autres tassés sur le sol.
Il s’avança derrière l’homme et s’écria : Bon anniversaire Paul !
L’homme se retourna,
Lançant un regard qui ne s’oublie pas,
Et le fêtard s’assit, puis s’allongea,
Sans vie, crise cardiaque.
L’homme au regard de mystère prit une chaise,
Et pleura,
Malheureux que ce don tourne comme cela.
Quand tout à coup, une sensation de bonheur l’envahi,
Un sourire épanoui.
Il se retourna et vit,
Ses amis,
Regorgeant de vie.
Parce qu’il faut dire,
Que c’était un homme qui aimait la violence,
Sur ordinateur ou sur console
Et un grand sorcier lui avait donné ce don
Pour qu’il prenne en compte ses pensées, même si celles-ci étaient sans actes.
Le maléfice se casserait,
Quand il se rendrait compte de ses méfaits.
Il découvrit que les jeux de maintenant sont une honte,
Violence gratuite et autre choses pontes,
Pour faire découvrir la violence
Et en plus, faire apprendre aux joueurs la dépendance.
Comme je l'ai dit au début à Daisuke, mes poèmes seront toujours en Français et seront joyeux. J'ai dit aussi à Daisuke, que j'écrirais des poèmes coups de gueules. En voici un et j'espère que la plupart d'entre vous sont d'accord avec moi.
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De Drôles d’oiseaux
Un jour,
En faisant un tour,
Celui que l’on fait habituellement
Et souvent
Le dimanche matin
Pour aller chercher le pain,
J’ai rencontré sur mon chemin
De drôles d’oiseaux.
Humains
Ou animaux,
Je n’ai pu faire la différence
Tellement il y avait ressemblance.
Je commençais à pencher pour l’animal.
Féroce, il râle,
Donnant des coups de becs à son voisin,
Qui cherchait en vain
Un arbre pour s’abriter,
Le temps que l’hiver soit passé.
Pendant ce temps l’oisillon,
Tentant de voler sans permission,
Sauta du nid
Sans avant prévoir un tapis.
Heureusement pour lui,
Que la vie tourna en sa faveur
Et qu’il réussit à s’envoler sans pleurs.
Mais je me dis
Que ce ne pouvait être ainsi,
Après maintes et maintes réflexions,
Qui arrivèrent à la conclusion,
Que c’étaient des humains,
Avec leurs erreurs et leur esprit nain.
Je voyais à la place des deux concurrents,
Deux personnes se disputant
L’achat d’un livre,
Les deux hommes étant ivres
De pouvoir,
De pouvoir recevoir
Cet objet
Leur étant approprié.
Pendant ce temps, l’oisillon s’était métamorphosé en un bébé
Dont l’insouciance est regretté
Par les parents,
Car la garde d’un enfant
Est aussi dure qu’élever un éléphant.
Mais celui-ci ne se pose pas la question du bon ou du mauvais,
Le monde est extraordinaire, il ne peut s’empêcher,
D’aller découvrir,
Une Terre où tout est à parcourir.
Il descendit du landau,
La mère ne le regardant pas, buvant du porto au bistrot,
Pendant que le père se dispute à côté de son auto.
Il traversa la route,
A quatre pattes,
Ne regardant pas des deux côtés de la route, ne recherchant pas le timing adéquat.
Il passa entre deux voitures avant d’atteindre la grand route.
Là on s’attendait à tout, sauf à ce qui les évite toutes,
Les véhicules roulant comme des bolides.
Il arriva de l’autre côté,
Sans blessures
Ni égratignures.
Quand le père le vit de l’autre côté, il s’empressa de traverser,
Tout comme l’oiseau qui a vu que son oisillon qui avait réussi à s’envoler.
Tous les deux attrapèrent leur progéniture,
Contents qu’il n’y ai eu aucune bavure.
Ce monde merveilleux recèle des surprises,
Que même les scientifique ne peuvent expliquer.
Mais il faut faire attention,
Car les accidents
Sont fréquents.
Les hommes sont des pions,
Qu’il faut déplacer avec précaution,
Et dont il faut leur éviter tout.
En les aidant
A élever leur enfant
Avec une affection
Que l’on ne peut décrire.
Ce jour,
J’ai appris qu’il faut faire attention à tout ce qui nous entoure.
En tous cas,
Avec tout ça,
Ce matin-là,
J’ai rencontré de drôles d’oiseaux
Qui s'entretuent et qui se font la peau !
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Voici un poème sur Microsoft ( qui a dit que c'était contre Bill Gates ? ) :
Bill, Bill
Sors nous tes billets
Que l'on puisse s'acheter
Ta nouvelle console très appréciée.
Bill, Bill
Donne nous le pouvoir
De faire pleuvoir
Des milliers de liasses
Pour s'acheter ton ordi qui rame comme une limace.
Une Xbox 360,
Pas loin des 360.
Fais la nous acheter pour des jeux
Qui pour la plupart sont sur notre PS2.
Sony va te rattraper,
Sors vite une console inachevée,
Qui a besoin de mises à jours
Tous les jours.
T'étais un génie,
Tu as inventé un langage sur ton ordi.
Mais tu n'as pas pensé
A ceux qui vont te l'acheter.
Mais tu n'as pas pensé au lancement,
A ceux qui l'utilisent professionnellement.
La hotline c'est pratique,
Plus besoin de se prendre des réflexions en pleine bique.
Quoique,
Si tes gars des renseignements
Savaient ce que veut dire argent,
Ils ne te feraient pas poirauter,
Un dizaine d'heures devant ton téléphone
Et tu ne serais pas obligé
De faire l'aumone.
Peut-être est-ce toi
Qui leur a dit '' ne vous pressez pas '' ?
Bill, Bill
Sors nous tes billets
Que l'on puisse s'acheter
Ta nouvelle console très appréciée.
Bill, Bill
Pour être le meilleur
Il faut que tu te dises que tout à l'heure
Tout le monde aura un ordinateur
Un petit conseil
Invente les erreurs.
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La journée de Pâques
Pendant deux semaines se sont les vacances,
Des vacances où les enfants dansent,
Contents que le dimanche,
Des œufs viennent se faufiler dans leurs manches.
Certains pensent aux cloches,
Aux œufs déposés dans leurs poches,
D’autres au lapin symbolique,
Qui, quand ils chercheront, feront une mimique,
De joie et de bonheur,
Contents que le bon chocolat remplisse leur cœur.
Mais les adultes ne sont pas en reste,
Avec des aventures pour chercher l’œuf spécial d’un pas leste,
Pour leurs bambins,
Qui recherchent déjà sans crier gare,
Dans le jardin,
Leurs trésors au bord d’une mare.
Les majeurs,
Qui ont encore un cœur
Enfantin,
Se voient à côté du lapin,
Une poule dans un coin,
Avec des œufs dans les bras,
Entièrement en chocolat.
Certaines personnes,
Ont été créées pour ne plus faire croire,
Pour ne plus pouvoir,
Pour ne plus faire penser,
Pour ne plus faire rêver.
Ces personnes sont dangereuses,
Elles enlèvent à notre beau monde l’esprit inventeur,
Ces personnes sont moqueuses,
Elles enlèvent à notre Terre bleue l’envie de s’évader par les poèmes de ces auteurs,
Qui ont envie,
De redonner vie,
A cette journée de bonheur,
A cette journée de chaleur,
A cette journée de couleurs en arc,
A cette journée de Pâques.
N'hésitez pas à mettre vos commentaires !
C'est pas méchant c'est juste parce que tu demandes nos avis!