Mon ange
Avant t’avoir connu, j’étais dans le mensonge
Des ciels éternels qui ne cessaient de s’obscurcir.
Mais tu m’es apparu comme étant un songe
Où la nuit et le jour ne semblaient plus finir
Pendant cet instant qui ma parut infini
Mes yeux se sont enamourés de ton être
Faisant ressurgir en mon sein les doux spectres
Des êtres qui ont jalonnés ma courte vie
Dans tes yeux semblables à la brise de l’océan
Brûle l’indescriptible flamme de la passion
Que nul ne peut éteindre sans risque d’effusion
Paisiblement, je me sens flotter dans les airs
Emporter au-delà des pluies et des éclairs

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posted the 04/17/2006 at 09:09 PM by
zeta