La forêt d'Hibernia...un si beau lieu, de si belles diversités de couleurs, même si ceux qui y passent ne voient que de nuances de vert, en y restant longtemps, toutes les couleurs imaginables apparaissent. C'est si difficile d'arriver à reproduire toutes les couleurs qui viennent à moi. Même de saisir la beauté des ces lieux par les mots est une tache de grande difficulté...
Je me présente Fenyrilye, un elfe artiste, essayant de maitriser le plus grand nombre d'arts possibles.
Mes deux parents étaient marchand au fort d'Hibernia, il était donc évidant que je devienne marchand a mon tour, mais le destin en voulut autrement.
En effet assez jeune je fût intéressé par les arts. Ahhh...la première fois que je vis une personne dessiner...à l'âge de douze ans, je fût envouté par les infinités de liges que fessaient apparaitre les mouvements de l’artiste, je vu apparaitre sous mes yeux les décors qui était devant moi; si je regardais le dessin, je n'avais l'impression de le pas avoir quitté ce merveilleux paysage d'Hibernia de mes yeux. L’artiste, voyant que je le regardais depuis plusieurs heures déjà, me demandais si je voulais apprendre le dessin te la peinture, pendent les jours qui suivirent, il m’apprit tout de ces deux arts, il disait même que j'étais très doué. Il dut partis quelques temps après , et pendent tous le mois qui suivis , je ne fit que de peindre tout ce qui s'offrait a moi , mais je n'avais guerre d'or et pouvais que me payer des toiles , alors , je faisait mes peintures moi même , l'herbe pour le vert , la terre pour l'ocre , le sang des animaux pour les rouge...
Pendent toutes mes journées je peignais, tout ce que je trouvais beau. Ce que je préférais peindre, c'étais les loups, aucun animal n'a plus de grâce qu'eux...si majestueux, je ne savais pas d'ou venais cette admiration pour les loups, mais je ne pus jamais en blesser un, comme si une certaine force me retenais de le faire...
Un jour, pendent que je peignais un paysage de crépuscule près de la plage de Midgard, un homme vint à côté de moi, il était grand, avait une armure verte, de la barbe et des yeux d'un bleu profond... Il me félicita pour mon travail et me griffonna un mot sur un bout de papier.
«Oh! Toi si joli artiste,
Regarde, ne soit pas triste,
Toute ta vie est devant toi,
Je suis heureux de venir à toi.»
Je regardais l'homme qui me souriait et s'assit a côté de moi , il me caressais l'intérieur de ma cuisse , il approchât ses lèvres des miennes , il les déposa délicatement premièrement surpris , mais je me détendis et ouvre légèrement la bouche laissant pénétrer sa langue , la sentant contre la mienne , il me caressais mon entrejambe , je sentis mon sexe grandit subitement. Il arrêta à ce moment. Je le regardais passionnément, il me dit Au revoir petit artiste. et s'en allas d'un pas sur et délicat. Je n'ai pas put bouger pendent quelques minutes, envouté par la douceur de ce baiser, derrière le message qu'il m’avait écrit, il y avait écrit en écriture calligraphiée:
Tuomas Holopainen
Ce nom resteras surement toujours en moi...je n'ai jamais revu cet homme...
Quelques jours après, je fis connaissance avec un arde qui m’apprit le chant, comment maitriser son souffle pour sortir de notes justes et puissantes. Quel plaisir de sentir vibre son corps au rythme de la musique....si magique.
Je maitrisais déjà plusieurs arts : la peinture et le dessin, le chant, la poésie (je crois que le baiser avec Tuomas Holopainen m'a donné un peu de son talent.), je m'essayais au luth et à la flute.
Mais...il y avait un art qui me manquait...l'art du combat.
Cet art me fut appris par un entraineur...exceptionnel. Il savait tant de choses, où couper pour que le sang arrive sur les bottes ou plutôt sur le visage, le point sensible de chaque corps, humains, lurikeen, elfe, nécrite...Il avait tant de connaissances en lui. J'étais...très attaché à cet homme, je ne savais quantifier ce sentiment...si fort.
Mais un jour, il disparu, je me souviendrais toujours de la phrase qu'il m'a dis quand je l'ai vu pour la dernière fois:
Je t'ai tout appris pour que tu puisses devenir un guerrier qui feras de tous ses combat la plus belle des ouvre d'art que l'on puisse imaginer.
La tristesse m'avais envahit, je voulu peindre l’aube, mais...je n'avais plus de rouge...je n'vais pas le courage d'aller tuer un animal pour lui extraire son sang, alors, je me coupai les veines avec une dague, noir....le sang étais noir...
Je fusse si... troublé par cela, mais aussi impressionné, je ne savais pas trop quoi faire, après quelques minutes de réflexions, je pris le sang récolté pour en faire une peinture.
La chose que je peint , n'avais pas de modèle , je ne sais pas si c'étais moi même qui décidais de peindre cet....elfe si sombre...C'est ma plus belle peinture , la plus réaliste , je n'osais presque plus toucher le toile , après longue réflexion j'ai rangé cette toile , que je garde toujours avec moi , comme le plus grand de mes secret.
J'avais seize ans, j'étais de plus en plus en conflit avec mes parents, avec tout le monde aussi... je ressentais une hostilité envers tous les êtres que je corsais, comme si ils m'avaient fait mal...au par avant...
un jour...un celte m'vais grandement énervé , je saisis ma lame et tue cette personne en onze coups , à la fin du onzième , le celte tombas lourdement sur le sol , le bruit résonnais dans mes oreilles...Je remarquais que ses blessures semblais faire l'esquisse d'un dessin , je lui enleva ses vêtements et constata que ses blessures prenaient les traits d'une figure qui ressemblais a la personne sur ma peinture , les onze coups ont fait....ma première œuvre de combat... Je sortis la toile, la regardais longuement aux côté du cadavre...Je la remis avec soin dans long sac et, je m’éloignai de toutes forme de civilisation, caché dans le foret d'Hibernia sans réel but...
Un jours lors de cet exil , un elfe vint me parler , dès ses première paroles , je lui tranché la tète d'un seul coups , j'avais l'impression de ne même pas avoir bougé... sa tête tomba sur le sol , son corps reste quelques instant debout et , une douche de sang vint pleuvoir sur moi , a ce moment , je ressentais une rage...féroce monter en moi ne sachant que faire pour l'arrêter , ni même pour la comprendre...
Que m'arrivais-t-il, je voulais tant comprendre, pourquoi se sang noir coulait dans chacune de mes veines, que cela voulais-t-il dire? Toute la journée pendant que j'erre dans le foret, ces questions me taraudent l'esprit. Je restais là, à penser a ce que j'allais devenir, a comment ma vie allais se dérouler, j'étais différent des autres...je ne pouvais pas me mêler a eux....ils étaient si...je ne saurais dire...
Toute mes journée étaient rythmées au son des coups de lame, je faisais mon art a longueur de journée, et quand j'en avais assez, je m'interrogeais ...pourquoi je suis si différent, c'est sûrement ce sang...mais pourquoi, est il en...moi...
De plus en plus , j'avais l'impression d'attendre une personne , mais ce qui m'intriguais , c'est que , tout ceux qui m'approchaient se transformaient en mes toiles...Mais pourtant , j'avais en permanence l'impression de l'attente d'une une personne , portant en elle ...la vérité .Cette personne , elle me faisait peur , car elle me fera découvrir , me donnera la vérité , j'espère qu'elle ne seras pas trop dur...
«Dans la foret l'attente est longue,
De la cime des arbres le vent gronde.
Le soleil perce les feuillages,
Et arrive sur ma peau sans âge...»

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posted the 03/05/2006 at 03:06 AM by
ekane