Hé, salut à vous tous mes très chers lecteurs. Alors, les fidèles se demanderont, quoi, un rubrique « musique », mais qu’est-ce que ça fait là ça ? A cette question je vous répondrai : « ben rien, c’est là pour faire zouuuuuuuli ». En fait, cette nouvelle rubrique s’avérera toute aussi utile que mon blog ne l’est, c’est-à-dire complètement dénué d’intérêt. Mais c’est pas grave, puisque moi ça m’amuse de parler pour ne rien dire, mais alors là, rien du tout et vous, vous foutez de ma gueule en lisant ces lignes complètement inutiles. Donc, j’ai fait le choix de vous présenter les musiques les plus importantes sur la planet Dardoo, il s’agit donc de groupes qui me tiennent tout particulièrement à cœur.
*et alors ? On s’en fout, casse-toi de là mon gars, laisse la place aux bloggeurs, aux vrais de vrais, ceux qui parlent de jeux vidéos !*
Ben quoi, moi aussi, je sais parler de jeux vidéos, d’ailleurs, nous préparons des tests, mais bon, c’est difficile pour nous de nous réunir autour d’une console pour se faire une nuit sur un jeu vidéo et, le lendemain matin, complètement éméché, de pondre un test valable sur ledit jeu… Bon, tout ça pour dire que je débute en solo [mais sans nul doute, mes compagnons me suivront dans la rédaction de ces articles] la rédaction d’articles sur les groupes qui nous tiennent à cœur [c’est facile, ce sont les mêmes], donc voilà… Bon, alors le titre parle mieux que moi, on va parler de « Muse » ensembles. Ben quoi ? J’adore ce groupe, moi !


L’histoire du groupe
Donc, comme vous le savez sans doute, Muse est un groupe formé de trois membres [tous à vos dictionnaires, un groupe de trois membres, on appelle ça, un trio –à ne pas confondre avec les T-Rio, même si elles sont trois aussi-]. Bon, pour voir si vous avez suivi, si c’est un trio, combien de noms j dois vous présenter ?
…
Tois, merci !
Alors, il y a Matthew Bellamy et Chris Wolstenholme…
Ah, vous voyez que vous n’êtes pas attentifs, j’en ai dit que deux et personne n’a réagi… Et donc, j’oubliais le formidable batteur Dominic Howard.
Voyons si j’ai des photos pour vous… Ah, voilà.

Matthew James Bellamy, Matt, pour les intimes :



Donc, lui, c’est le guitariste / chanteur du groupe. Vous pouvez aussi l’appeler Bells, si vous le croisez à un coin de rue… Il est né le 9 juin 1978 en Angleterre, à Cambridge, pour être exact. Matt a aussi des talents de pianiste.

Chris Wolstenholme :



Né de la même année que Matt (le 2 décembre), Chris, le bassiste du groupe, est originaire du Yorkshire. Il sera peut-être votre ami, parce qu’il se dit accro aux jeux vidéos…

Dominic Howard :



Alors, lui, c’est la base du groupe, le fondateur. C’est le batteur. Il est né le 12 juillet 1977 à Manchester. C’est le membre le plus convivial, ainsi, si vous voulez leur parler, c’est avec lui que le contact se fera sans doute le mieux.

Alors, j’en étais où ? Oui, donc, les trois membres, étant jeunes, se rencontrent, comme dans les mauvais films, au lycée. Tous membres de groupes différents, ils font finalement connaissance et rejoignent le groupe de Dom. Les débuts sont difficiles et le groupe peine à se faire connaître, malgré d’évidents efforts. En l’an de grâce 1997 après la naissance du Christ, ils sortent leur premier EP (un « extended play ») après avoir fait la connaissance d’un détenteur de maison de disques : Denis Smith. La sortie de l’album « Muscle Museum » sonne le début de la gloire. « Showbiz » viendra, en 1999, asseoir cette popularité grandissante qu’acquiert Muse. Cet album leur permet désormais de côtoyer les plus grands noms de la musique et d’assurer les premières parties de certains concerts (Foo Fighters, Red hot Chli Peppers). En 2001 sort « Origin of Symmetry ». plus personnel dans les compositions que les précédents, plus calme dans la forme, cet album pose le style de Muse, un style unique que le public ne tarde pas à adopter. « Absolution », le dernier album sorti à ce jour, a lui aussi, suivi le chemin de ses aînés, celui de la gloire. On murmure aujourd’hui qu’un album est en préparation. Il serait disponible au printemps de cette année…


Pourquoi on l’aime ?
C’est simple, en trois albums à peine, Muse a réussi à s’imposer à nous comme un groupe de rock majeur et avec SON rock qui plus est. Un rock aux compositions recherchées et personnelles doté d’une instrumentalisation très bien travaillée avec pour forme un chanteur à voix hautement charismatique, une énergie à revendre et des textes à la fois simples et profonds. Comment ne pas tomber sous le charme ? Surtout que le groupe sait faire dans l’éclectique, passant de sons à la limite de la saturation instrumentale (« Stockholm syndrom », « hysteria », « the small print ») à des musiques plus calmes (« bliss », « feeling good » –titre d’ailleurs honteusement repompé par un chanteur soi-disant à voix que je ne nomerai pas-, butterflies and hurricanes »). Conquis en trois albums, vous conviendrez que c’est assez rare de nos jours, alors, il vaut mieux en profiter, non ?


Chansons ?
Bon, difficile de cerner Muse en quelques titres, mais les plus représentatifs sont pour nous :

Bliss
Très calme, le titre, s’est surtout imposé dans cette sélection par ses paroles tout bonnement extraordinaires de simplicité et de beauté. « Give me all the peace and joy in your mind », « everything about you resonates hapiness », « your soul can’t hate anything », y’a pas à dire, ça en jette ! Chanson d’amour par excellence, le titre se veut musicalement répétitif et redondant, mais qu’est-ce que c’est bon. Nous vous conseillons aussi le clip (woawwww, la chuuuuuuuuute)

Butterflies and hurricanes
Le Muse dans toute sa splendeur. L’introduction est tout bonnement superbe, les montées vocales prennent aux tripes et c’est avec enchantement que la batterie s’allume pour nous donner de la musique de la vraie. Après moult excitations, c’est avec plaisir que l’on retrouve une composition classique au piano, presque progressive et ce, avant d’être repris par l’onirique composition rock. Nous signalons que cette musique constitue le fond musical du jeu vidéo « formula one 05’ ».

Hysteria
Pour nous, le meilleur Muse de l’album Absolution (si pas le meilleur Muse, en fait…). Malgré des couplets somme toute assez lents et communs, le titre accroche, on ne saurait trop expliquer comment. De toute façon, la magie de Muse opère et c’est ça qui compte.

Thoughts of a dying atheist
En voilà un titre qu’il est peu connu. Et c’est vraiment dommage, parce que les paroles valent leur pesant d’or. Et cette voix, toujours cette superbe voix qui s’emballe de façon extraordinaire. Voilà un titre qui nous a arraché les tympans de par sa puissance musicale et vocale. A écouter la nuit, avec le volume de l’autoradio à fond en roulant les pieds au plancher sans savoir où on va !

Unintended
Hé bien, c’est peut-être unintended qu’ils ont fait ce titre, mais nous, on peut vous assurer que s’il est ici, ce n’est pas unintended. Vous voulez un titre à vous arrachez les tripes et à vous faire rouler l’échine en boule ? Ne cherchez plus, c’est tout trouvé ! Calme de bout en bout, on reste concentré sur les paroles (quand on comprend l’anglais, bien sûr…) pour ne pas en rater une miette. C’est peut-être le joyau de calme qu’il vous faut après une journée de travail trop stressante.


Et alors ?
Nous n’avons pas l’habitude de faire des articles si courts, mais un Muse, on l’écoute plus qu’on en parle. Alors, un bon conseil, ruez-vous sur les albums, parce qu’eux et vous, le valez bien !
On aurait évidemment aimé vous faire partager pus de Muse, des titres comme « apocalypse please », « time is running out », « hyper music », « megalomania » ou encore « muscle museum », mais, comme ils le disent : « time is running out ». C’est ainsi que nous clôturons ce premier article musical. En vous disant à la prochaine pour de nouvelles aventures avec d’autres artistes et en espérant vous faire partager notre passion démesurée qu’est la musique !

[EDIT] : article ajouté au sommaire à la rubrique musique.