DTM race driver 2 : the ultimate racing simulator
Genre : simulation de conduite
Plate-formes : PS2, PC, X-BOX et PSP (à venir à la rentrée)
Forme :
Graphismes :
13.5/20
On est satisfait par le graphisme proposé par ce titre sans doute mieux connu sous le nom de Toca race driver 2. Les véhicules ne sont pas un modèle de précision, mais on s’en contente amplement. Les décors sont très riches et très variés. Il est à noter que les dégradations subies par la voiture sont prises en compte et, ça, c’est une bonne chose (même si le rendu graphique des dégâts n’égale pas celui de Burnout 3). Des cinématiques en images de synthèse répondent également à l’appel et, autan dire que celles-ci sont renversantes.
Bande son :
15/20
Des sons de moteurs assez moyens, mais par contre, le doublage, en français s’il vous plaît est assuré de main de maître. Les compositions musicales sont discrètes et efficaces.
Conclusion de forme :
14.3/20
Assez mitigé, le bilan se veut à l’image du jeu : varié. En effet, que dire d’une telle variété ? On ne reprochera donc que la modélisation tout juste correcte des véhicules.
Fond :
Jouabilité, gameplay :
15.5/20
Chaque véhicule, chaque surface a sa façon d’être appréhender et ça, ça ajoute une variété de gameplay extraordinaire. On ne conduit pas un camion sur une piste détrempée de la même façon qu’un formule 3000 sur asphalte ou qu’une voiture de rallye sur glace. On a donc droit au grand jeu au niveau du gameplay. La conduite est relativement arcade, mais possède son côté simulation : pas question de jouer les auto tamponneuses avec les concurrents car la mécanique montrera alors vite ses limites : après la tôle froissée, c’est très vite le moteur qui vous lâche et donc l’arrêt instantané de la course pour votre écurie. Sans être réaliste à l’extrême, Toca deuxième du nom possède donc un petit côté arcade voire fantaisiste qui n’est pas pour nous déplaire.
Scénario :
15/20
Vous êtes un jeune pilote. Vous essayez de faire vos preuves dans plusieurs championnats et avec plusieurs objectifs (finir au moins deuxième pour être repérer par un manager, etcetera). Vous avez à supportez plusieurs personnes (dont le directeur d’écurie) au caractère bien trempé. Voilà le programme. Bien sûr, vous rencontrerez diverses embûches (César, par exemple) qui vous empêcheront d’aller plus avant. Mais, ce n’est pas cela qui vous arrêtera, n’est-ce pas ?
Durée de vie :
16/20
En solo, il faut compter environ dix heures. On peste contre les développeurs car, pour tout débloquer (c’est-à-dire piste, véhicules, trophées, etcetera), il faudra recommencer le jeu au moins deux fois. La faute à un système de choix alternatif : vous terminez une course et vous avez le choix du prochain championnat. Chaque joueur aura donc une saison différente qui le forcera à recommencer l’aventure principale plusieurs fois (au moins deux). Un mode multi joueurs est aussi présent et il réservera des courses infernales entre amis.
Plaisir de jeu :
14.5/20
Le plaisir de jeu s’estompe au fur et à mesure du jeu. C’est dommage, mais le scénario parvient à relancer l’intérêt et à nous tenir en haleine.
Ambiance :
-/20
Pas d’ambiance particulière si ce n’est celle des courses automobiles.
Conclusion de fond :
11.6/20
Un bilan assez bon et favorable aux producteurs de ce jeu qui fournissent ici un énorme travail sur la variété du jeu. Malgré cet effort, le plaisir de jeu peine à se renouveler après quelques heures de jeu. Cela n’empêchera pas le joueur de passer un bon moment en compagnie de ces amis notamment.
Conclusion et note :
12.9/20.
Pas foncièrement mauvais, pas excessivement inventif, Toca race driver 2 est l’exemple type du jeu qui mérite d’être essayé avant achat pour ressentir soi-même les sensations qu’il peut procurer. Un bon jeu, sans plus en bref.
Et pour finir, les screens
[EDIT] : article ajouté au sommaire à la rubrique
jeux vidéos, sous-classement
test express.