Devil may cry 3: Dante’s awakening
Genre : action/plate-forme
Plate-forme : PS2

Forme :
Graphismes :
15.5/20
Ca fait vraiment plaisir à voir : la PS2 n’est pas morte et elle est à son âge d’or. Une telle qualité graphique impressionne. Les animations de Dante sont magnifiquement mise en valeur. Malgré un aliasing assez présent, le troisième volet des aventures de Dante, sous-titré Dante’s awakening, devient une valeur sûre sur le plan graphique sur laquelle les graphismes next gen s’appuieront sans doute.
Bande son :
16.5/20
Du hard rock bien condensé : telles sont les compositions musicales. Quant au doublage, il n’est pas transcendant et, qui plus est, est en anglais. Des sous-titres sont prévus pour ceux qui seraient passés à côté de leurs cours en langue de Shakespeare.
Conclusion de forme :
16/20
C’est sublime : tant à regarder qu’à écouter. L’action est stylisée. Ce jeu estampillé Capcom est donc une réussite sur tous les plans.
Fond :
Jouabilité, gameplay :
17/20
Une jouabilité à l’épreuve du feu : les cabrioles de Dante sortent sans que le joueur n’ait eu besoin de marteler cinquante-huit touches de la manette. Dante est plus stylé que jamais et grâce à ses six styles de combat, il peut varier les plaisirs. Le joueur a à sa disposition bien assez de moyens d’éliminer les hordes de zombies et autres créatures d’outre monde pour s’amuser. De plus, toutes les compétences peuvent être customisées pour atteindre leur paroxysme de puissance et de rapidité.
Scénario :
10/20
Comme son nom ne l’indique pas, Devil may cry 3 est un retour aux sources de la série : on y découvre donc un Dante plus jeune, plus arrogant que dans les deux premier volets. Voilà donc, en substance, le scénario. Peut intéressant, il constitue une allégation à la bastonnade.
Durée de vie :
15/20
Devil may cry 3 présente la fameuse tare des beat’em up : l’aller-retour. Rien de plus rageant pour un joueur, lequel joueur pestera de devoir passer des portes dans un sens et puis dans l’autre trois missions plus tard. Mais c’est le genre qui veut ça. La rejoaubilité est quasi nulle, mais, la première fois, le jeu prendra une dizaine d’heures (en comptant les boss, dont certains sont vraiment retors)
Plaisir de jeu :
16.5/20
Le plaisir est présent tout au long du jeu : l’aventure principale réserve un tas de surprises relançant l’intérêt du jeu, du moins la première fois, parce que la deuxième ne fait pas aussi plaisir à jouer : elle est trop répétitive.
Ambiance :
15.5/20
Une ambiance d’outre tombe sur fond de cataclysme, c’est une ambiance particulière que les amateurs des volets précédents apprécieront.
Conclusion de fond :
14.6/20
Du tout, tout bon : gameplay en or, durée de vie multi joueurs tout bonnement énorme, plaisir de jeu instantané et endurant, ambiance violente. Seul le scénario est exempté de ces éloges car trop peu original pour être accrocheur.
Conclusion et note :
15.3/20.
Sertie dans une jouabilité extraordinaire, la réalisation est à la hauteur des espérances. Un jeu à conserver dans un écrin vidéo ludique donc tant il est exceptionnel. Ce jeu présente cependant le défaut de la rejouabilité qui est ici réduite à sa plus simple expression. Ca y est donc : le troisième épisode des aventures rocambolesques de Dante entre au panthéon vidéoludique dont son grand frère, Devil may cry premier du nom avait déjà franchi les portes.
Et les magnifiques screens sont pour vous, rien que pour vos yeux, comme dirait James
[EDIT] : article ajouté au sommaire à la rubrique
jeux vidéos, sous-classement
test express.