Burnout 3 : takedown
Genre : course arcade
Plate-formes : PS2, X-BOX PSP (à venir)

Forme :
Graphismes :
16.5/20
Le troisième épisode de la série des Burnout sous-titrée « Takedown » en impose sur le plan graphique. Plus abouti que jamais, les graphismes sont d’une beauté confondante : véhicules modélisés avec soin, décors et paysages variés et magnifiques. C’est grandiose. Les textures des bâtiments sont néanmoins trop voyantes. Mais, on effleure la perfection.
Bande son :
17/20
On n’est pas convaincu par la « radio » crash, qui est, néanmoins, francophone. L’animateur manque de pêche. Par contre, les compositions musicales sont d’une magnificence rarement égalée dans l’histoire du jeu vidéo qui encense l’ouïe. Un bon point donc, surtout que les listes de lecture sont personnalisables et interchangeables une fois en course. Bruitages convaincants.
Conclusion de forme :
16.75/20
Superbe, c’est le seul mot qui me vienne à l’esprit : d’une fluidité toute épreuve, les graphismes sont sublimes et la bande-son irréprochable.
Fond :
Jouabilité, gameplay :
17/20
Violent et agressif, il s’agit ici d’un jeu dans la plus pure tradition arcade : pas de prise de tête : que ce soit le survirage, les transferts de masse, les suspensions ou bien la boîte de vitesse à régler, reine n’est à régler et tout est prévu pour que le joueur puisse se lancer dans le jeu immédiatement : commandes instinctives, jouabilité réglée comme une montre suisse : tout est parfait.
Scénario :
-/20
Absent.
Durée de vie :
14/20
Seul, le jeu est bouclé en huit heures, il faut compter une dizaine d’heure pour tout débloquer (les cartes, les lieux, véhicules,…) et avoir toutes es médailles d’or. Un mode multi joueurs est également de la partie, il se révèle des plus efficaces jamais vu dans un jeu de course arcade.
Plaisir de jeu :
15.5/20
Il est vrai que le principe peine à se renouveler au bout de quelques courses et on rangera vite le jeu si on fait des séances de jeu de plus de trente minutes. Mais à petite dose, le jeu se révèle agréable et qui plus est addictif.
Ambiance :
-/20
Le troisième volet de la série des Burnout tout droit sorti des studios de Criterion ne possède pas une véritable identité au niveau de l’ambiance. Mais ce n’était pas le but non plus.
Conclusion de fond :
15.5/20
Pas vraiment subtil, ce jeu est plutôt réservé aux personnes en manque d’adrénaline pure, il ne plaira donc pas aux fans de la première heure de Gran Tursimo, mais les autres, à condition d’aimer la course, seront aux anges. Pour beaucoup de joueurs, ce jeu se révèlera des plus addictif jamais créés.
Conclusion et note :
16.1/20.
Les équipes d’EA se sont encore surpassées : ce jeu de course en met plain la vue : graphisme rutilant, jouabilité en or massif,… Le seul point noir étant seulement la redondance des épreuves proposées par le jeu qui aura tendance à lasser le joueur sur la longueur, mais pas de souci, c’est un jeu qui mérite d’orner une ludothèque qui se targue de posséder les meilleurs jeux des dix dernières années. Un jeu anthologique donc.
Donc, je vous balance quelques screenshots
[EDIT] : article ajouté au sommaire à la rubrique
jeux vidéos, sous-classement
test express.