Voilà la 2e partie des perles en matière d'assurance, il y en aura encore une plus tard.
Je débouchais d'un chemin à une vitesse à proximativement de 60 et voilà que je heurte un arbre. L'arbre m'a injecté de la voiture alors la voiture à continué toute seule avec la jeune fille que j'étais sortie avec.
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J'abordais le carrefour sans penser à rien quand un individu survenant de ma gauche m'a carrément coupé tout le devant sans se préoccuper des conséquences.
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Je ne pense pas vous envoyer la facture acquittés pour la réparation de ma Renault parce que la voiture, personne veut y toucher sous peine que çà tienne pas ; j'en ai fait illusion à l'expert qui l'a aussitôt réduite en épave.
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Je me trouvais environ en 2ème vitesse quand ma voiture fit un tétaqueu et parti en marche arrière tout droit dans le ravin que j'avais l'intention d'éviter.
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Je témoigne que j'ai tout vu. À mon avis, je ne pourrais pas donner à Mo! nsieur REYSSEGUI à tort, c'est pourquoi je vous laisse juge.
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Arrêtez de m'envoyer des feuilles, de toute façon je n'y comprend rien, il y en a plein le buffet et ma femme veut plus en entendre parler.
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Je suivais la voiture qui précédait qui après que je l'ai dépassé m'a suivie. Et c'est alors qu'elle m'a choqué en plein arrière et m'a forcée par là à choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
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La compagnie écrivait «veuillez nous faire savoir si vous avez des témoins». Ma réponse: Monsieur le Directeur, suite à votre demande, je peuv sous offrir ma fiancé, mais je ne crois pas qu'elle puisse servir n'ayant pas par devers elle les éléments susceptibles de vous intéresser.
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Pour cet accident malgré ce que vous dites je ne suis nullement responsable. Je dois vous souligner que je ne suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
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Je ne suis pas ! responsable du refus de priorité puisque j'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais vu je m'aurais arrêté. Je ne comprend pas pourquoi on me reproche une faute que je n'aie pas commise.
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L'accident est arrivé pendant mes congés, je suis resté trois jours allongé ce qui m'a fait perdre trois jours de repos.
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Il se plaint de ses jambes. Deailleurs j'ai bien vu quand on a fait les pour-parlers que ces jambes ne l'empêchaient pas de marcher.
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Ma voiture était en travers mais l'adversaire avait diverses possibilités de m'éviter qu'il n'a pas songé à utiliser.

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publié le 13/02/2005 à 21:05 par
cedhans