Rubber n’est clairement pas un film réussi, la faute à son aspect artiste. Alors que Quentin Dupieux tenait un postulat de départ jouissif, propre à bien des énormités typiques du cinéma déviant, il recouvre son long métrage d’un vernis prétentieux comme pour ne pas céder entièrement à la gaudriole. Comme si ce le délire foutraque était à bannir, trop vulgaire. Un pneu qui tue, oui mais un pneu qui pense aussi.
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posted the 04/15/2011 at 12:50 PM by
raoulcinephile