Wassup dogs ?
À tous ceux qui espère un instant la mort de ce blog, j'ai le regret de leur annoncer que le Roi will still alive. Le temps s'passe, le temps s'passe, tu sais ce que c'est, on se laisse aller, on taffe et au final on délaisse ceci ou cela. Je rassure les jf-fanatiques, voila du pain spiritique à vous mettre sous la dent.


Je reçois beaucoup de commentaires de remerciement pour mon oeuvre, des encouragements également, et ça je tiens à le préciser ça m'fait chaud au cœur. C'est pas encore de l'hydroponique mais ça m'fait chaud au coeur.
Cependant, il y a toujours des fous, que dis-je, des fistonnés qui viennent contredire la suprématie du Roi. Alors messieurs, que s'passe-t-il quand on bouscule le Roi ? On file aux oubliettes. Du haut de mon trône, vous n'êtes que fourmis et vos attaques ne sont que d'innoffensifs petits coups de mandibules. Alors le Roi lâche son flow, lourd et puissant, et c'est comme un coup d'aspirateur pour les petites fourmis.

Mais revenons en à notre sujet. Ces jeunes gaillards s'appuient encore, à court d'arguments, sur le vocabulaire, qui leur fait pourtant défaut.




Alors d'après ces jeunes gaillards, Le Roi n'a pas de légitimité. En ces temps républicains, je vous accorde que Président Heenok aurait surement plus de portée à travers les diplomates de ce bas monde. Mais le Roi n'a que faire de ces gamineries démocratiques.
Car le Roi n'est pas Le Roi. Il est. Tout simplement.
Alors que Descartes, un grand mac du 18e (siècle, pas arrondissement), a dit Cogito ergo sum, Le Roi se contente d'un Sum. L'hydroponique ne connait pas de frontière et il est bien vain d'essayer de me restreindre à cette basse terre.
Alors oui, j'ai fais mes première gammes dans la Rive Sud. Mais là où tu y vois un lieu, j'y vois un state of mind. Les lois de la physiques ne demandent après tout qu'à être dépassées. Là où les faibles verront un terme obsolète en lisant Le Roi, les forts y sentiront l'essence même de ce qu'il est. À l'heure où le monde part en vrille et que les systèmes démocratiques prouvent par eux même leurs limites, un seul homme résiste.

Il n'est nul besoin d'entretenir plus longtemps le mystère. Car même pour les plus hargneux, il est désormais évident qu'un seul être pèse sur la balance.