GTA IV est là ! Les fans sont aux anges, les magasins tentent de faire face aux ruptures de stock et les cinémas américains flinguent celui qui vide leur salles. Un tel événement ne peut pas se louper, à savoir la sortie d’un des « produits culturels » qui va probablement être le plus vendu cette année. Du coup nos grands médias cathodiques daignent aborder ce sujet, celui du jeux vidéo.
On pouvait avant leur reprocher de ne jamais en parler, ces dernières années cependant, avec la place grandissante du secteurs sur le terrain économique et le phénomène du « causual gaming », ils ont bien été obliger d’aborder le sujet.
C’est contre la façon dont le sujet à été (une nouvelle fois) aborder que je proteste.
Je voudrais qu’ils se mettent en tête une chose simple, claire et évidente : le jeux vidéo n’est pas une maladie ni une menace pour la société et « nos enfants ». Ces médias ont bien un discours moins méprisant qu’avant, mais ce n’est visiblement qu’un discours. Tandis que le journal de France 2 insiste du caractère violent du jeu et ose, comme le dénonce le
jeuxvideo.com, faire un rapprochement honteux entre celle ci et le phénomène d’addiction (notamment celui lié au MMORPG), sur Canal + plus ont en fait de même en invitant un psychothérapeute sur le plateau du Grand Journal.
Certes, c’est pas la présentation la plus scandaleuse qu’il y ai eu, mais quand on parle de jeux vidéo, pourquoi faut-il toujours qu’ils se sentent toujours obliger de mettre l’accent sur tout ce qui pourrait potentiellement être dangereux ? Pourquoi inviter systématiquement qu’en on en parle des médecins, des psys ? Pourquoi quand on est face à des jeunes délinquant ou assassins, faut-ils que les médias mettent en avant dans certain cas le jeux vidéo comme une des cause de ses agissements s’il est avéré que celui ci y jouait ?
Le jeux vidéo est toujours rattacher de prés ou de loin avec la médicine, qu’il soit traité comme une sorte de virus ou même de médicament, comme si rien d’autre dans un jeu ne méritait d’être vu en dehors de sont influence sur le cerveau humain. La preuve que cette vision du jeux est bien installer dans notre société, pour que le phénomène causual commence vraiment il à fallut la sortie de Brain Training, c’est à dire attirer le grand public vers la jeux vidéo en lui prouvant que celui n’est pas dangereux, voir même bénéfique por leur santé. Certes, ce mouvement est bon mais est révélateur de la façon dont les médias ont contribués à cette conceptions pathologiques du jeu.
Quand à la violence, c’est sur ce terrain que se manifeste le plus ostensiblement cette défiances. En effet, certains films d’horreurs, gores à souhait, plus proche de gros défouloirs primaires et stupides que de véritables Films au sens artistique du terme sont mieux traité dans l’actualité que ne l’est actuellement GTA IV. Il y a vraiment un décalage flagrant. Maintenant, on pourra m’évoquer le fameux Manhunt 2 qui à fait scandale. Bien que je considère ce genre de production violente et sanglante à un niveau qui me semble dépourvu de tout intérêt, je ne vois pas pourquoi elle devrait être plus malmené que certains films gores qui eux ont droit à des traitements beaucoup plus complaisants.
C’est une suite de comportements, de paroles, d’approches faites par ces grand médias, surtout télévisuel, qui contribuent à un dénigrement et à une méfiance excessive des gens vis à vis du jeux vidéo qui tend à en faire le produit culturels le plus méprisé dans les médias grand publics. Ils parlent de livres, des films, de musiques, de peinture, etc… mais le jeux vidéo reste toujours par rapport à tout ces autres « arts » relativement confiné malgré lui dans de la presses ou des chaînes de télé spécialisées. Sans rentrer dans le débat qui consiste à savoir si oui ou non le jeux vidéo est un « art » (ce que je considère être le cas), ne mérite-t-il pas qu’on s’intéresse à lui pour ce qu’il est. Avant de se précipiter sur le moindre petit aspect sanglant ou addictif, ne peuvent–ils pas se pencher sur le scénario, le gameplay, la musique, les graphismes, bref, tout ces éléments qui font d’abord et avant tout un jeu.
Le jeu vidéo mérite d’être regarder pour ce qu’il est et pas d’être observer aux travers de ces démons qu’on agites sans réfléchir.
Bien que les choses changent progressivement dans les mentalités et dans ce discours moins agressif et réducteur des médias, je pense qu’il serait temps que l’on passe à une nouvelle étape. Certes toute nouvelles manifestations artistiques à eu sont heure de raillerie, de diabolisation et de dénigrement (cinéma ou bandes dessinée). Malgré les leçon du passé, on continu d’avoir bêtement peur de ce qui est nouveau du simple fait de la nouveauté et cette tendance se retrouve véhiculée dans le discours médiatique. Le jeux vidéo est comme toutes choses, il à son lots de dangers et de dérives mais ceux ci sont exagérés et on ne nous propose pas d’autre angles sous lesquels ont pourraient aborder et discuter de ce sujet et c’est bien là, au fond, ce que je reproche à ses grands médias de ne pas élargir leurs visions et c’est regrettable.
Voici, pour finir, à travers qu’elle vision j’aborde aussi ce thème :
Le jeux vidéo est un carrefour des arts, celui qui donne la chance à toute les manifestations artistiques de se mêler en s’ajoutant ce qui fait l’essence du jeux vidéo, l’interactivité.
PS : voici bien longtemps que je ne suis pas revenu poster quelque chose sur mon blog, désolé que ce soit pour râler

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