Après le Parmesan frais regiano italien et le saucisson italien sec, voici ma nouvelle drogue alimentaire en provenance direct du japon.........le Râmen !!! Vous aussi, venez partager votre dépendance du ramen avec moi ^^

Pour ceux qui ne connaissent pas, le râmen (prononcez lâ-men) est un plat composé de bouillon, de nouilles de blé tendre, et de garniture. D'origine chinoise, il n'a pourtant gardé de sa version originale que l'idée de nouilles servies dans un bouillon, d'où probablement son nom vraisemblablement d'origine chinoise*, aujourd'hui le râmen est unanimement considéré comme un plat japonais, et surtout un emblème de la culture alimentaire populaire. Développé de manière très libre, le râmen n'a cessé de se transformer.



C'est un plat que j'aime pas sa simplicité, sa rapidité à être cuisiné et surtout son goût en constante evolution part ses ajouts et modifications. Je vous montrerais les ramens que j'achète à carrefour, ca ne vaut pas ceux que j'ai mis en photo mais ils sont quand même très bon !

L'origine des râmen ? C'est un sujet mystèrieux qui pourrait susciter une véritable polémique parmi les partisans des différentes hypothèses. Mais une chose est sûre : le premier restaurant de râmen a vu le jour à Asakusa, un quartier populaire et animé de Tokyo en 1910. Sa spécialité : des nouilles à la chinoise largement inspirées de la soupe que les vendeurs ambulants proposaient dans le quartier chinois de Yokohama, mais plus adaptées au palais des Japonais : bouillon de poulet, de porc et de légumes assaisonné à la sauce soja, nouilles chinoises faites à la main, et en guise de garniture, des rondelles de porc rôti, des bâtonnets de pousses de bambou fermentées et de l'émincé de poireau.Ainsi est né le râmen tokyoïte (Tokyo râmen) considéré comme le plus classique de tous les râmens existant aujourd'hui. Mais il ne s'appelait pas encore
âmen, cette appellation ne devenant courante qu'après 1958, année où les premières nouilles déshydratées au nom de chicken râmen ont été commercialisées par la société Nissin Foods.
D'abord assaisonné tout simplement au sel, en 1953, cette même ville a donné naissance à une autre version de râmen qui est depuis devenue la spécialité locale : râmen au miso. Nous voici, face aux trois assaisonnements incontournables, reste à connaître votre réponse à cette éternelle question tant de fois entendue dans les enseignes spécialisées : shôyu (sauce de soja), miso (pâte de soja fermenté) ou shio (sel) ?

Quant à la garniture, à l'exception des classiques porc rôti, pousses de bambou fermentées ou poireau émincé, chaque maison, chaque région y glisse sa part de fantaisie. A Sapporo, on aime faire fondre une noix de beurre avant la dégustation, alors que dans la région de Kyûshû, la crème du râmen au bouillon riche de porc, on apprécie le contraste apporté par le gingembre confit. Bref le râmen est un plat totalement personnalisable en fonction de ses goûts et envies passagères.

Le râmen est pour moi la nourriture qui à un rapport qualité prix le plus intéressant au japon. Un bon bol de râmen vaut environ 2.5 euros et cette restauration rapide remplira à tout les coups ses objectifs, c'est à dire vous couper la faim et vous donner du plaisir gastonomique tout ça à un prix défiant toute concurence.








Alors ? des amateurs ?