Je precise qu'une image assez choquante est postée dans cet article,donc article INTERDIT AU - DE 18 ANS.
Aprés avoir défrayé la chronique dans les années 80, après avoir tué, dépecé et mangé une jeune étudiante hollandaise, Issei Sagawa est toujours une star au Japon. Ou essaie de l’être.
Nous sommes, à Paris, au mois de juin 1981. Un étudiant japonais de 32 ans, inscrit à la Sorbonne, invite chez lui une jeune Hollandaise de vingt-cinq ans, Renée Hartevelt.
Renée repousse alors ses avances, ce qui ne refroidit pas Segawa. Il la tue d'une balle dans la tête. La viole, et pendant trois jours va se « délecter » de son cadavre. Il la dépèce et la mange.
Après plusieurs péripéties, il réussit à se débarrasser du corps dans le bois de Boulogne. Malheureusement, pour lui, un couple de passant aperçoit son petit manége. Rapidement arrêté, il est reconnaît les faits pendant son interrogatoire avec force détails.
Il est incarcéré jusqu'en 1983, il bénéficie alors d'un non-lieu pour démence au moment des faits. Il est ensuite interné dans un hôpital psychiatrique.
Un an plus tard, grâce à l'influence de sa famille, le « cannibale japonais » est de retour à Tokyo à la condition d'y suivre un traitement psychiatrique. Après examen, les psychiatres le déclarent sain d'esprit et le libèrent.
Sagawa devient en quelques mois une véritables star des medias. Sujet de plusieurs articles et documentaires, plus de 300 livres lui ont été consacrés (notamment en français Le Japonais cannibale de Patrick Duval et L'affaire Issei Sagawa œuvre collective parue aux Éditions Fleuve noir).
De la même façon, on ne compte plus ses apparitions télévisées en tant que critique culinaire (sic) ou sur grand écran (Shisenjo No Aria, The bedroom en anglais, un film qui parle de prostituées atrocement mutilées...).
Enfin, en vingt ans, il a publié une dizaine de livres avec des titres comme « L'affaire de la chair humaine de Paris », « Cannibale », « J'aimerais être mangé » ou encore « Ceux que j'ai envie de tuer ».
D'ailleurs, à l'heure actuelle, Sagawa vit en parti des royalties de ses livres, mais également grâce aux subsides que lui versent ses parents (à presque 60 ans !).
Même s'il est moins présent dans les medias japonais, il réapparaît de temps en temps. Les télévisions et les magazines étrangers continuent également de l'interviewer régulièrement.
Il se plait toujours à raconter ses sordides expériences « culinaires ». Sagawa joue la carte du cannibale sanguinaire au maximum. Récemment, lors d'une séance photos devant un grand magasin, tout en regardant les jambes du mannequin dans la vitrine, il a déclaré aux journalistes venus l'interroger : Quand je vois une belle femme dans le train, j'ai la sensation de la manger... ( Le Japon Aujourdhui ).
Je precise que Segawa a decrit de façon tres detaillé la façon dont il a mangé ( il n'ya pas d'autres mots ) sa victime et sincerement , apres avoir lu celle ci on se sent bien mal.A eviter.
Image assez choquante du refrigirateur de Segawa contenant les parties du corps de sa victime.Cela montre a quel point laisser Segawa en liberté est du grand n'importe quoi.:
justice pourri, monde pourri... heuresement que l'amour existe!