Malgrè cette question de plus en plus présente dans ma tête la journée se passa presque sans encombre. Je compris enfin où elle allait le soir. Au sous-sol sont disposés autour d'un grand et lourd sac rouge. Elle faisait donc de la boxe, certainement pour évacuer son stress. A midi, elle ne mangea pas. J'ai passé la journée dans la chambre à regarder la télé, j'ai invité quelques potes à moi. Je voulais leur faire un gouter spécial mais il y avait toujours ce problème de cuisine. Cally était encore dans la salle de bain, et n'en sortit qu'en sentant l'odeur de brulée qui venait de la cuisine. Elle m'enleva les poèles des mains et continua à faire les crèpes. C'était étrange de sentir en moi un sentiment nouveau un eu comme de la tendresse. Pour finir mes potes ont bien appréciés et ont c'est tous mis à discuter enssemble avec elle.
Elle me semblait beaucoup plus détendu qu'avant. Elle raconta une sorte d'histoire sur sa vie et j'eus l'impression qu'elle inventait chaque mot au fur et a mesure qu'elle l'amaginait. Je ne lui ai pas posé de questions de peur qu'elle ne se sente mal à l'aise. Je me demandais quand même si ce changement d'attitude, si ce revirement soudain ne venait pas de moi et de ce que j'avais fais pour elle la nuit précédente. La journée s'acheva ainsi dans le calme du crépuscule montant, elle me fit à manger, s'installa en face de moi et me dévisagea longuement comme si elle voyait au travers de mon corps, plus loin que cette enveloppe charnelle qui nous entoure. Peut etre voyait elle mon âme?. Au plus son regard devenait intense au plus l'interrieur de moi bouillonait, jamais je ne ressentis une telle chose pour quiconque. Après ce dinner exquis, je me sentais plus le même, elle avait fais passer en moi de sa tendresse qui rassure et qui apaise. Je me suis installé dans le fauteuil et on a regardé la télé enssemble. J'eus du mal à m'endormir cette nuit làde peur que cette chose ne revienne. Vers minuit et demi j'entendis des sanglots, pas n'importe lesquels, les sanglots d'une enfant terrorisée. Je ne sais pas comment elle avait deviné que je m'étais réveillé, elle murmura que c'était à cause de l'orage et au même moment un coup de tonnerre retentit violent et fort. Elle se crispait de plus en plus, je sortis de mon lit et vint dans le sien . Elle avait besoin d'affection, d'etre rassurée. Je l'as pris dans mes bras et elle m'avoua que ce n'était pas l'orage mais d'horrible cauchemards, elle me les raconta donc eux et leurs degrès de violence. Je ressentis enfin ce que l'on appele de la compation pour quelqu'un. Au plus elle me le racontait au plus j'avais mal, mal qu'elle souffre à ce point, mais je n'étais pas au bout de mes peines. Je réussis à la calmer et elle s'endormit dans mes bras, blottis contre moi et je veillais à ce que son sommeil ne soit pas trop agité. C'est alors que plusieurs choses ce passèrent dans ma tête, je compris d'où venait les marques et les bleus qu'elle avait sur le corps, et je compris aussi ce soir là que j'étais tombé amoureux d'elle mais qu'elle m'était inaccessible, à cause de ma petite amie céline.

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posted the 01/25/2005 at 08:55 PM by
luna