L’ange (Roberto B.)



Sa beauté est sans égal, la contempler est un régal.
Rien à envier aux dieux, avec ses yeux si merveilleux.
Visage angélique et cœur poétique.
Sourire divin, pour une femme divine .
Cœur d’artichaut , c’en est de trop
Elle m’a envoûté, j’en suis tout retourné.


Elle a pris mon cœur, mais je n’en n’éprouve aucune rancœur.
Je l’aime passionnément, et ce ne sont pas là des boniments.
Par contre, elle, elle ne m’aime pas,
Et ça, je ne le supporte pas.
Tout mon être se meurt,
Nourrissant ainsi mon malheur.


Je n’ai plus de raison d’être, alors, autant disparaître.
Je ne te reverrai plus jamais, j’en garderai des regrets.
Je rejoindrai les anges, mais j’attendrai mon Ange !
Quoi que tu penses de moi,
Moi, je t’aime, et si tu penses à moi,
Tu entendras ma voix.