Salut salut les potes !
Aujourd'hui j'ai une grande envie de vous parler de mon animé du moment. Un Animé de folie ! Un animé bourré de rebondissement, un animé dynamic et stylish, Bref un bon moment à partager ! ^^
Alors !!! Commencons par un bon vieux sypnosis générique qui va bien pour vous présenter un peu l'histoire :
2010, le Japon est envahit par l’Empire de Britannia grâce à leur supériorité militaire évidente. Désormais, le pays s’appellera Zone 11, pour la 11ème colonie de l’Empire, et ses habitants seront les Eleven. 2017, la résistance est en marche et les attentats sont nombreux. Un jour, Lelouch Lamperouge, un jeune étudiant Britannien vivant dans la Zone 11, se retrouve impliqué malgré lui dans une poursuite entre l’armée et des terroristes. Pris pour un résistant, Lelouch voit sa vie sauvée in extremis par l’intervention d’une mystérieuse jeune fille qui lui offre le Geass. Ce pouvoir lui permet désormais de donner des ordres à quiconque rentrera en contact avec son œil gauche. Malgré le fait qu’il soit membre de la famille impériale, Lelouch a toujours détesté l’Empire. Il décide alors de profiter de son nouveau don pour prendre les armes...
Suzaku, meilleur ami de Lelouch, et en même temps pilote du Lancelot :
Mettons tout de suite les choses au clair : Code Geass n’est pas une énième série mécha tout droit sortie des usines de cloneurs de concept du studio Sunrise. Bien que l’ombre de Mobile Suit Gundam Seed plane tout autour de la série, il est évident que les scénaristes Ichiro Okouchi (Planètes, Brave Story et Stellvia) et Hiroyuki Yoshino (My-HiME, My-Otome et Mobile Suit Gundam Seed) ont essayé le plus possible de se détacher de la série phare du studio. Code Geass met davantage l’accent sur la lutte des japonais pour libérer leur pays du joug de l’Empire que sur une guerre totale. Terrorisme, extrémisme, peur de l’envahisseur... La série de Goro Taniguchi n’hésite jamais à parler de sujets d’actualité tout en pointant du doigt son propre pays (le Japon et son patriotisme exacerbé). Nous sommes donc clairement en présence d’un divertissement
intelligent.
Cependant, Code Geass s’apparente plus à un mélange des genres qu’à une série exclusivement politique et guerrière. Le ton relativement léger de l’ensemble dû au côté vie estudiantine (les romances adolescentes, les divers quipropos humoristiques...), nous fait souvent oublier que les Eleven meurent régulièrement sous le feu des soldats de l’Empire (à ce titre, le premier épisode est glaçant avec son massacre de civils). Heureusement, pour éviter d’éventuels incidents diplomatiques (après tout Britannia c’est les Etats-Unis !), l’Empire n’est pas montré comme le Mal absolu. À l’instar des différents titres Gundam, le manichéisme n’est pas de mise et certains représentants de la famille impériale sont loin d’être aussi barges et mégalomanes que l’Empereur (que l’on n’aperçoit que très rarement au final). Un des points forts de la série est aussi de ne pas nous présenter un héros profondément positif. Lelouch (doublé par un Jun Fukuyama très impliqué) cache un désire de vengeance envers l’Empereur, accessoirement son propre père, qu’il croit responsable de la mort de sa mère et de l’infirmité de sa sœur.
Lelouch en plein action stratégique :
Lelouch profite du Geass pour se lancer dans une vendetta contre Britannia. Il devient alors le leader de la résistance grâce à ses talents en stratégie militaire. En effet, Lelouch n’est pas, à l’instar d’un Kira ou d’un Asran, un pilote hors pair de mécha. Il se sert avant tout de son intelligence pour mener la bataille et telle une partie d’échec il mène ses troupes à la victoire. Etant un britannien de naissance, il cache son identité (y compris à ses hommes) sous les traits de Zéro, un justicier masqué. La seule personne qui connaît ses desseins (du moins au début) est C.C., la fille qui lui a donné le pouvoir du Geass. La relation qu’entretiennent les deux personnes s’avère tout à fait ambiguë (les romantiques pourront s’imaginer qu’ils soient amants). Néanmoins, on ne connaît pas le passé de C.C., ni même ses véritables intentions. Est-ce une arme crée par l’Empire ? Manipule-t-elle Lelouch dans sa quête ? Que de questions auquel je ne peux point vous répondres étant donné que je ne suis qu'au 15 em épisode de la Saison 1
Outre Gundam, Code Geass est souvent comparé à Death Note. Les deux séries partagent le haut de l’affiche c’est un fait, mais par de nombreux points communs les quêtes respectives de Lelouch et de Light se rapprochent (notamment sur la notion de justice). Leur psychologie est aussi assez proche (tout le côté machiavélique), sauf que Lelouch est montré comme quelqu’un de nettement plus humain que Light. Le rendant ainsi plus sympathique aux yeux des spectateurs (cela force l’identification), mais aussi plus vulnérable vis-à-vis de son but final. Sa relation avec Suzaku est un des points d’orgue de la série (au même titre que celle entre Kira et Asran dans Mobile Suit Gundam Seed). Amis d’enfance, Lelouch et Suzaku se retrouvent par hasard dans la Zone 11. Bien que japonais, Suzaku s’est engagé dans l’armée impériale. Pour préserver la paix dit-il, mais on aurait tendance à parler de lâcheté, ce qui rend le personnage au final assez antipathique (un Kira, sans le charisme de ce dernier).
Le lancelot, magnifique robot de soutien, appellé en urgence toujours au dernier moment lorsque les méchants se rendent compte qu'ils ne peuvent plus rien faire :
Bref J'ai enchainé les 15 premiers épisodes de la saison 1 et c'est du divertissement pur et dur. J'ai vraiment passé un très très bon moment. Je conseille donc la série à ceux qui savent pas trop quoi regarder et qui patiente de voir la suite lente et longue de Naruto par exemple. Moi qui Regarde Naruto, j'en suis devenu lassé de regarder les épisodes 1 à 1. J'attend maintenant que quatre ou cing épisodes soient disponible avant de visionner. Dans code Geass, c'est différent, chaque épisode est rempli en action, romance, scénario et les rebondissements que j'ai déjà pu voir sont vraiment appréciable.
Mot de la fin : Code geass , ca envoi du Gros !!
Lelouch, le héro, pas du tout effrayé de verser le sang de ses enemies. Et pas non plus aveuglé par son pouvoir, là où beaucoup le seraient.