THE LEGEND OF ZELDA : PHANTOM HOURGLASS
PHANTOM HOURGLASS A TOUT POUR CONNAÎTRE UN DESTIN AUSSI FABULEUX QUE SON AÎNE THE WIND WAKER SUR GAMECUBE. EMBARQUEZ POUR DE NOUVELLES AVENTURES TRES STYLET .




A la fin de THE WIND WAKER, nous avions laissé notre brave héros (nommons-le Link) voguer sur des eaux inexplorées en compagnie de Tetra. Quatre ans plus tard, les courants les ont finalement emportés sur les rivages de la DS, qui se dote ainsi de son premier opus tiré de la saga. Pas le temps, pourtant, de flâner. A peine le jeu est-il lancé qu'un vaisseau-fantôme apparaît, à bord duquel monte l'impétueuse Tetra.




Mais lui en prend, car le navire disparaît aussitôt dans un cri ne laissant à Link que le temps de passer par-dessus bord. A son réveil, sur une plage, l'accueille d'une fée qui lui présentera un vieux sage riche de conseils : s'il veut retrouver, il lui faudra sillonner la mer. Pour cela, il faudra récupérer des cartes maritimes enfermées dans le temple du roi des mers, que seuls les possesseurs du Sablier fantôme ont le temps d'explorer. Dans ses grandes ligne, Phantom Hourglass conserve une stucture bien connue des amateurs, avec des énigmes à résoudre et des ennemies à abattre pour atteindre des donjons gardés par des boss, (armes et sable pour le sablier) étant indispensables pour la suite. Et, évidemment, pour varier les plaisirs, chaque île a sa propre ambiance, allant des plaines enneigées aux cavernes de Goron. Mais avec l'arrivée du donjon central (celui du roi des mers), que Link visite à plusieurs reprises, le rythme du jeu prend un nouveau visage. Clairement orienté infiltration, l'action laisse ici la place à une nouvelle forme de réflexion.




Et, en règle générale, de la jugeote, il en faudra au joueur, puisque cette version apporte son compte de nouveau challenge basé sur les spécificités de la portable. Déjà, l'ensemble du jeu se dirige au stylet, et aucune option ne permet de basculer sur une maniabilité plus classique à la croix. Les déplacements sont, du coup, facile à mener, il suffit de placer le stylet sur le lieu désiré, et les attaques le sont tout autant. Une pression sur l'ennemi, et Link fonce l'embrocher ; un cercle, et le héros tournoie en pourfendant tout se qui l'entoure. Cependant, il faut être honnête et avouer que certaines actions ne sont pas toujours bien reconnues dans la précipitation, mais comme il est facile de rattraper le coche, on ne pâtit pas longtemps de ce défault. D'autant que les énigmes emploient aussi la fonction tactile de la console avec beaucoup d'intelligence. Et, plus d'une fois, il sera question de tracer des symboles sur une porte, de noter un itinéraire bien particulier, de gratter un plan, et ainsi de suite. Mieux, la reconnaisance vocale a également son rôle à jouer. Par exemple, pour crier et attirer l'attention d'un autre personnage, pour souffler sur des moulins à vent ou pour éteindre des bougies. L'un des casse-tête se résout même en fermant la console, se qui manque pas de surprendre. En fait, ces moments de réflexion sont aussi ingénieux dans leurs fonds que dans leurs formes, et cette mouture fait preuve d'une originalité de tous les instants qui manquait dans le dernier Twilight Princess sur Wii et GameCube. Le titre va même jusqu'à améliorer les faiblesses du titre Gamecube auquel il emprunte tant, et rend les phases de bateau beaucoup moins mornes et contraignantes. Et pour cause, le trajet étant à marquer avec le stylet avant le départ, Link n'a alors plus qu'à se préoccuper de viser les ennemis croisés en route ou à sauter pour évitez les missiles. Et si la navigation, ou la pêche aux trésor, n'est vraiment pas votre point fort, rien n'empêche de se téléporter d'une carte maritime à l'autre, pour que dégoutiez les raccourcis auprès des grenouilles. Autre petite nouveauté pour le navire, celui-ci est personnalisable, de la cabine à l'ancre. ce n'est peut-être qu'une broutille pour certains, mais cela prouve un peu plus le soin qu'ont apporté les designers à ce titre. D'ailleurs, les graphismes en 3D sont tout particulièrement marquants, et les personnages forts en gueule et hyper-expressifs. Les mimiques de Link et du capitaine Linebeck valent tous leurs dialogues, et leurs animations sont détaillées a la perfection. Il suffit de voir le héros s'appliquer à griffonner sur sa carte, alors que nous mêmes, nous annotons des remarques, pour s'en convaincre. au final, le résultat est donc sans appel : Phantom Hourglass se montre non seulement plaisant à regarder mais aussi extrêmement bien calibré. Car entre l'exploration, les combats et les devinettes, le titre adopte une cadence efficace. Pas moyen de s'ennuyer, et les heures de jeu défilent sans qu'on en prenne conscience. Et c'est sur ce point que le jeu pèche, car en à peine une quinzaines d'heures, le trame pricipale est bouclée. Bien sur, il reste les minijeux et quelques quêtes annexes pour rallonger le plaisir, mais leurs nombres réduit et leur manque d'intérêt pour certains d'entre eux démotivent quelque peu. Heuresement le mode versus rattrape cet état de fait. Dans celui-ci, deux joueurs peuvent se confronter en local ou en Wifi, dans une variante du temple du rois des mers s'inspirant de Pac-man. Pendant qu'un joueur in carne Link censé ramener des Triforces sur sa base, l'autre dirige trois fantomes qui doivent intercepter le blondinet. Décidément, ce Phantom Hourglass ne ressemble à aucun d'autre, et son côté tactile le rend si abordable qu'il pourrait bien séduire un public ecore plus large, pas forcément gamer. C'est tout le mal qu'on lui souhaite, pour tout le bonheur qu'il nous donne.



1.L'infiltré : Le temple du roi des mers offre a Link une nouvelle expériance de jeu, celle de l'infiltration. Ses meilleures armes ne sont en effet pas d'un grand secours face aux sentinelle fantôme, et l'exploration discréte des couloirs n'est pas facillitée par la durée limitée qui lui est accordée en ces lieux.
2.Double boss : En s'étalant sur les deux écrans, les boss n'ont pas seulement gagné en force, il en ont profité pour se divertifier dans la façon d'être vaincus.
Ma note : 18/20
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Mais passons au cours d'orthographe si tu veux!
Pour faire bref :
par "impétieuse" tu voulais certainement dire "impétueuse" (ligne 10)
par "divertifier" tu voulais dire diversifier ou divertir?
Et tout ça sans compter toutes les fautes d'accords ("s" oubliés ou en trop) comme "le roi(s) des mers",
ainsi que les "e" en trop comme dans les ennemi(e)s,
et enfin les mots et expressions n'existant tout simplement pas comme "énignes" ou "mais lui en prend" à la place de "énigmes" et "mal lui en a prit"
Donc en conclusion tu devrais soigner ton orthographe si tu ne veux pas que tes (bons) tests deviennent illisibles et incompréhensibles...
Sinon je suis d'accord ce jeu est une pure bombe,les énigmes imposent une réelle réflexion(j'ai mis 20 min sur certaines xD) et les graphismes sont tout bonnement magnifique.
Mon seul "regret" c'est la disparition des gestions climatiques ainsi que de l'aternance jour/nuit durant les phases en bateau,en effet je trouvais ces passages tellement magique dans wind waker,les nuages qui s'assombrissent la mer qui devient verdâtre et les vagues qui se font plus violentes.Soudain la tempête,et au petit matin la mer qui se calme et le soleil qui se lève tout doucement...
bref j'en demande trop à la petite ds xD .
Merci
Et la couleur que tu as choisi pour ton blog est excellente,continu comme ça