Le premier est inspiré du célébre film de Roland Emmerich, le jour d'après.
Le second est la gloire d'une ville de mon coeur, Brest.

Le jour d’après

Le jour d’après
Les neiges éternelles
Fondront tel
Un aigle qui se jette sur sa proie effrayée

Le jour d’après
Les merveilles naturelles
Auront disparu et
Rien ne restera d’elles.

Le jour d’après
La guerre laissera place
A un champ de bataille dévasté
Et à des cœurs de glace

Le jour d’après
Il ne restera plus que la bêtise humaine
Pour se contempler
Elle-même.

Le jour d’après
Notre mère
La nature n’aura oublier
Aucun des maux de la terre.

Le jour d’après
La terre sera morte
Et blessée
Dans toute son âme pourtant si forte.

Le jour d’après
Le soleil ne se lèvera
Plus jamais
Et celui-là plus personne ne le verra

Le jour d’après
Les océans
D’un bleu si chatoyant
Vireront a un gris pollué
Le jour d’après
Je partirai
La larme a l’œil à
Cause de la
Folie des hommes sûr
D’eux envers notre mère la nature.



Le jour d’après- Recueil d’AUR

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Brest la ville aux éternelles pluies

Brest ou la ville où les pluies
sont éternelle
Ville de mon cœur
Là ou j’oublie tout mes soucis
Là ou je n’est plus peur
Et la ou mon cœur reste sans querelle.

Là où le pont de recouvrance
Me délivre de mes pénitences
Là où la mer déchaînée
Peut laisser place a un moment de tranquillité.

Là où les bateaux viennent mourir
Là où je viens pour sourire
Là où le soleil revient quelquefois
Là ou tout recommencera.

Là où je me sent le mieux
Là où je
M’approche le plus des cieux
Là où enfin rester, je peux.

Cette ville m’a ouvert les yeux
Et m’a rendu amoureux

Les merveilles de cette ville
Ne sont pas vil
Mais d’une richesse
Equivalant a son statut de ville poétesse

La ville où tout restera
Là où partira
Là où tout recommencera
Et la ou tout finira…


Brest la ville aux pluies éternelles- recueil D’AUR