Elément essentiel d'
Oxygen, l’animation, des personnages et des éléments décoratifs, fut, pendant un long moment, l’objet de toutes les attentions.
2 mots pourraient facilement résumer l’enjeu :
Fluidité et limitation.
Fluidité, car il était important d’obtenir un mouvement suffisamment réaliste, et limitation car il n’était pas possible de décomposé le mouvement à loisir.
La totalité des animations visibles dans le jeu fut donc réalisé en 4 ‘mouvements’. C’est peu ?!? D’ailleurs, si les éléments décoratifs furent faciles à animer, notre cher Oz, lui, fut bien capricieux ; se refusant à être dompté par un logiciel graphique.
Heureusement, au final ( et après de nombreuses prises de tête ), le résultat reste agréable à l’œil.
Comme quoi, il suffit parfois de peu pour donner la vie.