Il existe aujourd’hui dans le monde, une race de primate sous évolué qui s’apparente fortement aux hommes. En effet, cette espèce s’est développé en l’an 6 790 avant Mylene-Farmer, aux alentours de la Creuse : un homo-habilitis s’accouple par hasard avec un ancêtre du putois… C’est l’apparition de l’homo odoritus appelé aujourd’hui dans un soucis d’intégration : l’homme roux. Ces caractéristiques sont particulières : une malformation au niveau du septième chromosome lui procure un poil orangé et une sensibilité de la peau marqué par énormément de tache dite « de rousseur » qui sont à l’origine également de leur sécrétion d’odeurs assez particulières voir puantes… Cette malformation à également une répercussion sur leur intelligence, le cerveau gauche étant moins bien irrigué il n’est de ce fait, pas utilisé au maximum de ses capacités… Cette race souffre aujourd’hui d’un manque de considération évident. Leurs capacité ne leurs permet pas de s’adapter totalement a notre société et ils sont de plus en plus rejetés. Leurs efforts pour masquer leurs odeurs sont de plus en plus compliqués et les gens ne sont plus dupes… il savent qu’ils ne peuvent pas compter sur un roux. Mais ce n’est pas une raison pour s’acharner non plus, bien que différent de nous, ces personnes restent des êtres humains (enfin officiellement). Je pense qu’il faut arrêter de stigmatiser cette partie de la population. Bien que souffrant d’énormément de problèmes, je trouve ces personnes touchantes… Vous avez déjà vu une maman rousse mettre un petit verre dans la bouche de bébé roux pendant que papa roux va chercher des brindilles au supermarché ? Quoi de plus beau ? Je pense qu’il faut accepter les handicaps de tous et de tirer les bénéfices de toutes situations… Ne répétons pas les erreurs qui ont été commises par le passé, et intégrons ces êtres dans notre société. Je propose donc de reconsidérer la question de la roussitude. Dans un premier temps, il serait souhaitable qu’on arête de leur jeter des pierres, ou au moins de passer au petits cailloux…Ensuite on pourrait organiser un roussoton (ne pas faire l’amalgame avec la recette de cuisine turc, les roux y sont chassés puis manger) ce qui pourrait permettre de développer des infrastructures et des centres d’éducations spécialisés. Enfin lancer une campagne nationale d’adoption sur le principe : pourquoi acheter un chien ou un chat lorsque l’on peut avoir un petit roux gratuitement à la maison ? J’espère vous avoir ouvert les yeux sur le racisme anti-roux, et que comme moi, vous allez désormais reconsidérer la question.

Auteur Inconnu