En cette soirée, un écrit d'une petite demoiselle qui m'est chère [environ 3 523 000 €...non je plaisante, elle est inestimable à mes yeux et à mon coeur
], miss Asukaaa pour ne pas la citer, m'a inspiré, pour vous livrer une prose écrite au rythme des cris des sirénes de bateaux et au rythme des flots d'octets sur mon écran.
En ce monde, je suis un homme parmi tant d'autre. En ce moment, rien d'exceptionnel, l'écran de l'ordinateur massacre mon cerveau de pub, ma lampe faillit de me préserver de l'ombre de la nuit, elle présente des signe de faiblesses. Je devrai la changer mais être avec les ombres inspire tellement plus que d'être avec l'électricité des hommes...
La télé est éteinte, mais à chaque fois que je passe devant, j'ai envie de l'allumer pour voir ce qui a de drôle à regarder. Quelques fois, il arrive qu'elle soit allumé sans que je la regarde, ennuyé de tant de répétition, on dirait un discours d'endonctrinement des fois...
Ma fenêtre donne sur la rue, d'ici on entend les bateaux solitaires crier leurs désespoir qu'ils ont de répendre le malheur sans le vouloir...
Il est tôt dans la soirée, et pourtant déjà cette envie de quitter ce monde quelques instants pour réver se fait de plus en plus pressantes. Il m'arrive quelques fois de me lever en pleine nuit, pour circuler chez moi comme une ombre, et regarder à travers la fenêtre de la salle la lune éclatante se refléter sur le bord du banc en acier, de regarder la lumière artificielle frappaient de toute sa grâce mon corps, se demandant ce qu'il fait là, à regarder dehors. Quelques signes d'existences des fois, plutôt tranquilles comparés aux signes du jour, signes qui entrainent à penser qu'on est tous pressés.
Tout est calme et pourtant je ressens cette douleur, dans mes oreilles, tous ceux qui crient silencieusement, qu'on entend jamais, car oubliés...
Je vais me rendormir, après avoir été iluminé comme un prisonnier par les lampadaires je redeviens une ombre jusqu'à mon lit...
Quand on y réfléchit, le soleil créait autant d'ombre que la nuit...