Avez-vous jamais lu qu’un dirigeant politique ou un premier ministre d’un pays islamique a visité le Japon ?
Avez-vous jamais entendu que le roi d’Arabie saoudite ou le Président iranien ont visité le Japon? (Il y a eu 4 visites d’un officiel d’Arabie Saoudite au Japon en presque un siècle, et 1 visite d’un président iranien, en 2000.
Le Japon impose des restrictions strictes à l’islam et aux musulmans.
a) Le Japon est le seul pays qui ne donne pas la citoyenneté aux musulmans.
b) Au Japon les musulmans n’ont pas droit à la résidence permanente.
c) la propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population.
d) Dans les Universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelle que langue que ce soit.
e) l’importation de Coran en langue arabe est interdite.
f) Selon les données du gouvernement japonais, il a été donné le droit à résidence temporaire à seulement 2 musulmans lakhs, qui doivent respecter la loi japonaise. Ces musulmans doivent parler le japonais et effectuer leurs rites religieux dans leurs appartements.
g) Le Japon est le seul pays au monde qui dispose d’un nombre négligeable d’ambassades de pays islamiques.
h) les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam.
i) Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères.
j) Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères.
k) Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans leurs règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi.
l) Le gouvernement japonais est d’avis que les musulmans sont des fondamentalistes qui même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois musulmanes.
m) les musulmans peuvent difficilement louer une maison, au Japon.
n) Si quelqu’un apprend que son voisin est musulman, tout le quartier est alerté.
o) Nul ne peut créer une cellule islamiste ou école islamique, au Japon.
p) La charia n’est pas autorisée au Japon.
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q) Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria.
r) Selon M. Komico Yagi (chef de département de l’Université de Tokyo) « Il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion »
s) Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre, y compris le Japon. Il a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon.
t) Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association islamique japonaise répondait : « franchement, il y a peut-être 1000 musulmans japonais, et le nombre de 30.000 est très largement exagéré ».
u) Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877, mais seulement comme « histoire des cultures ».
v) le « boom de l’islam » au Japon a été provoqué par l’armée japonaise et date de la seconde guerre mondiale. Une mosquée à a été construite à Kobe, et une centaine de livres et journaux ont été publiés sur l’islam. L’objectif de l’armée était d’être mieux équipé afin d’acquérir une bonne connaissance de l’islam et des musulmans. En 1945, l’islam disparu rapidement du Japon.
w) en 1890, l’Empire Truc Ottoman a envoyé un vaisseau au Japon dans le but d’entamer des relations diplomatiques et pour présenter l’Islam aux Japonais. Le navire s’appelait Ertugrul, et sur son chemin de retour, il a coulé avec 609 personnes à bord.
x) Il y a une trentaine « d’appartements mosquées » dans tout le Japon.
y) Les Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous développés.
z) AU Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
publié le 26/02/2013 à 22:50 par
rotoyng
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publié le 29/09/2008 à 16:21 par
rotoyng
Les vrais prénoms ont été modifiés par le journal, à vous d'essayer de rétablir la vérité!
Agression
Le collégien sort un couteau en classe
Saint-Michel-sur-Orge (Essonne)
UNE CELLULE d’écoute psychologique a été mise en place hier au collège Jean-Moulin de Saint-Michel-sur-Orge (Essonne). Elle n’a pas suffi à évacuer totalement le traumatisme vécu la veille par toute une classe de quatrième. Vers 11 h 30, Benoît*, 13 ans, a un vif échange avec sa professeure pendant le cours de mathématiques.
Son travail est en cause. Il vient d’écoper d’un 5/20 à son contrôle. De rage, il déchire alors sa copie, se précipite au fond de la salle et sort un couteau. Il agrippe alors un autre élève et lui maintient la lame sous la gorge. « Au départ, j’ai cru qu’il rigolait », raconte Isabella*, une élève de la classe, encore sous le choc hier. Sauf que Benoît ne plaisante pas. Il menace de tuer son camarade si tout le monde ne sort pas.
« C’est quelqu’un qui souffrait d’un très grand malaise »
Un à un, les élèves quittent la classe. L’enseignante, elle, reste à l’intérieur, garde son sang-froid, et parvient à convaincre Benoît de poser son arme. Il sera ensuite appréhendé par la police, puis présenté hier devant un juge des enfants qui l’a mis en examen. Il devrait très vraisemblablement subir des examens psychologiques. « C’est quelqu’un qui souffrait d’un très grand malaise, commente Marie-Louise Testenoir, l’inspectrice d’académie. Mais ça ne donne pas le droit de commettre un geste aussi intolérable que celui-ci. »
Jusqu’alors, Benoît n’avait jamais fait parler de lui. « Il était sympa, même s’il ne parlait pas trop, reprend Isabella. Après ce qui s’est passé, je tremblais de partout. » Dans la foulée, les élèves de la classe ont été regroupés à la cantine pour évoquer l’agression. « On nous a dit que les externes ne rentreraient pas manger, explique Frédéric, un parent. Dans l’ensemble, les choses ont plutôt été bien gérées, même s’il a fallu attendre le soir pour que nous soyons informés. »
Isabella, elle, est retournée en cours hier comme à l’accoutumée, avec tout de même une petite boule au ventre. « Il a pris quelqu’un au hasard dans la classe. Je me dis que ça aurait pu être moi. »
* Les prénoms des intéressés, mineurs, ont été modifiés.
Le Parisien
publié le 27/09/2008 à 18:50 par
rotoyng
Des rapports des RG se sont penchés sur la composition des bandes, leur usage de la violence, ainsi que sur l’origine ethnique de leurs membres.
Les renseignements généraux ont établi un profil type des principaux délinquants dans ces groupes, à partir de l’étude de 436 meneurs, recensés dans 24 quartiers sensibles. Parmi eux, 87 % ont la nationalité française ; 67 % sont d’origine maghrébine et 17 % d’origine africaine. Les Français d’origine non immigrée représentent 9 % des meneurs, selon les RG.
Si les bandes sont rarement homogènes d’un point de vue ethnique, les jeunes d’origine africaine ancrés dans la délinquance présenteraient des particularités : l’une d’elles serait “l’extrême violence de leurs actes”.
Selon le rapport, “ces jeunes réagissent de façon démesurée, surtout lorsqu’ils sont en groupe. Le fait de tuer est complètement banalisé par la télévision (…). Donner la mort s’inscrit dans une sorte de parcours initiatique qui permet d’être reconnu et de s’élever dans la bande, d’autant que l‘excuse de la provocation, sous une forme quelconque, vaut toujours absolution.”
Dans le même rapport, quatre mois avant les faits, les policiers parlaient déjà d’”acharnement”, de “sauvagerie” et de “barbarie”, citant l’utilisation épisodique d’armes destinées à infliger des blessures graves, comme des gourdins à clous, sans parler des armes à feu
Les renseignements généraux n’ont pas conduit d’étude spécifique sur l’antisémitisme en banlieue. En revanche, les violences constatées à l’occasion de la manifestation lycéenne du 8 mars 2005 ont incité les policiers à se pencher sur le racisme anti-”Blanc”, “une réalité quotidienne”, selon le titre d’une étude du 4 juillet 2005.
Les RG y citent des exemples de menaces et d’agressions, notamment contre les personnes qui travaillent pour les bailleurs sociaux ou les services publics.
publié le 23/09/2008 à 21:43 par
rotoyng