Voici 2 images de l'interieur de Crush's Coaster qui ouvrira ses portes le 9 juin aux Walt Disney Studios.

Mes ami(e)s aujourd'hui j'ai vécu une chose bien particulière enfin...Vous verrez bien! Donc aujourd'hui, j'étais de charge, dans une soirée sur la culture arabe d'introduire les styles.Bon j'suis un peu timide en public mais là n'est pas le sujet...Je répétais mes notes pendant une répétition de chansons qui ont été jouées le soir-même et j'y ai assisté...J'étais pas plongé dans mes notes, j'écoutais...En premier une chanson marocaine, une chanson a cappela et en choeur principalement, avec peu de vrais textes. Et en l'écoutant je me suis souvenu d'une phrase de René, personnage du roman du même nom de Chateaubriand Le chant humain est mélancolique naturellement...C'est ce que j'ai retrouvé dans ce chant, un chant mélancolique, et pourtant aucun effort sur les voix, elles étaient restées naturelles...Et c'est là que je me dis que le chant de maintenant est trop superficielle, car avec peu d'émotion. La musique vient du lyrisme, style de poème chanté avec une lyre à l'anitiquité, et ce lyrisme a une connotation d'introspection de la part de l'auteur si il parle de lui ou bien l'expression des sentiments en général...Les chansons de maintenant se perdent en technicité vocale comme monter dans les aiguës ou descendre dans les graves rapidement sans anicroche...On rentre dans une société où la technicité est plus apprécié que le simple. Le chant justement, à mon avis, doit rester dans ses racines, il doit rester lyrique et ne doit pas être surplanté par une quelconque modification numérique comme ça se fait beaucoup pour donner une voix synthétique sans sentiment, le chant humain, au naturel, est mélancolique comme l'a dit René, ce n'est pas quelque chose à gacher. Mais il peut aussi exprimer d'autres sentiments comme la haine, la joie ou la colére...Ce chant se modéle à sa guise pour exprimer ce que l'on veut...C'est du lyrisme, l'expression du sentiment, du soi...Justement le chant marocain avait un air très lancinant, très posé, et assez triste, comme si il s'agissait d'une plainte...Ce chant était très lyrique car pleins d'émotions...
Mais en général dans les chansons lyriques, on partage l'intimité du chanteur le temps d'une chanson. On se sent happé par la mélancolie, les chansons paraissent plaintes et on dirait qu'il les partage, il les partage avec nous simples auditeurs. Mais ne dit-on pas que nous partageons tous, même les sentiments, avec ses ami(e)s? Le temps d'une chanson justement on devient plus qu'un auditeur.
Il y avait aussi des chansons accompagnés d'instruments...Ces instruments peuvent aussi être lyrique, car ils peuvent porter des émotions, selon leur rythme, leur sonorité...Il y a ce je-ne-sais-quoi qui émane d'une musique composée, une âme, quelque chose qui dépasse toute notion de virtuosité instrumentale, qui dépasse toute notion de convention...Ne pas mettre du coeur à jouer donne une musique mécanique sans émotion. Une partition ne se suffit pas à elle-même si on y applique pas sa rigueur et sa sensibilité, sinon ça sonne creux...

1. Si j'ai l'occasion, j'aimerais mieux mourir de mon vivant !

2. Le plus dur pour les hommes politiques, c'est d'avoir la mémoire qu'il faut pour se souvenir de ce qu'il ne faut pas dire.

3. La dictature c'est ferme ta gueule, la démocratie c'est cause toujours !

4. La droite a gagné les élections. La gauche a gagné les élections. Quand est-ce que ce sera la France qui gagnera les élections ?

5. Un coiffeur, c'est un dentiste...pour la tête !

6. De la bigamie, c'est quand on a 2 femmes, quand on en n'a qu'une, c'est de la monotonie !

7. Un journal féminin à grand tirage, c'est normal que ça fasse le bonheur des femmes !

8. Du Beau, du jau, du beaujolais ! C'est une plaisanterie au 12ème degré !

9. Message pour les écolos canadiens : sauvez un arbre ! Mangez un castor !

10. Comment reconnait-on un chien d'aveugle ? Facile, y a un aveugle au bout.

Cocorico, quel étrange cri...

Cocorico, ou le gloussement patriotique des Français quand leur pays arrive à se classer dans les dix premières places d’une compétition, quelle qu’elle soit : coupe du monde de foot, tournoi de tennis, jeux olympiques, classement des plus grandes puissances économiques, nomination aux Oscars, Miss France, guerre mondiale, et j’en passe.

Pour les Oscars c'est vrai. En France on est toujours fébrile à l’approche des Oscars ; on se demande est-ce que la France va avoir le prix du meilleur film étranger ? Et on est tremblants, et on espère, dans cette attitude typiquement française qui consiste à nier l’importance des Etats-Unis tout en priant pour qu’un jour ce pays reconnaisse nos mérites. Et on se dit y a pas de raison qu'on l'ait pas, c'est notre film le mieux même si on n'a pas vu les autres.
Si par hasard c’est un film sudafricain qui obtient l’oscar, on se garde évidemment bien de dire lequel, on se contente simplement de dire que La Marche de l’empereur n’a pas eu le trophée et que c’est totalement injuste — pour un peu on pourrait soupçonner un racisme antifrançais chez les Américains —, en tout cas à aucun moment on n'ira voir le film récompensé pour se rendre compte que, peut-être, il est plus intéressant à voir que le pèlerinage des manchots, animaux qui ont tout de même l’incroyable intérêt de n’en présenter aucun.

C'est d'ailleurs pour ça qu'ils ont créé les Césars, au moins à cette cérémonie on peut être sûr que la France sortira grande vainqueure. Ils sont même capables d'être heureux parce que c'est un Français qui remporte l'élection présidentielle.

Cocorico. A-t-on déjà entendu un animal éructer un cri plus empreint de bêtise que celui-ci ? Est-il bestiole plus répugnante et plus détestable que le coq, à part le Juif ? Voyez-donc ce gallinacé de basse-cour se dandiner sur une patte au milieu de son tas de fumier ; voyez son air fier de beauf venant juste de s’abrutir devant un match pendant que sa femme accouchait dans la douleur. Regardez sa crête en forme de gant de cuisine retombant sur le côté dans une mollesse hallucinante. Regardez son œil, au fond duquel vous ne trouverez rien d’autre que de la paresse et de la misogynie. Regardez son cul, avec sa petit queue de paon de seconde zone levée, laissant apparaître un fion qui ferait passer Michael Youn pour un homme pudique. Regardez son bec, et ses difficultés pour attraper sa bouffe avec dignité, sans l’envoyer gicler partout. Regardez sa démarche d’étron sur pattes à la recherche d’on ne sait d’ailleurs jamais quoi, la tête en avant, la tête en arrière, comme un balancier qui ne s’arrête jamais.

Le coq, mesdames et messieurs, est la créature la plus honteuse de nos basses-cours ; il réussit à cumuler dans son seul petit corps de volaille l’intégralité de ce qui fait un connard chez les humains. Et c’est son cri que nous devrions reprendre en cœur quand la France parvient à se faire remarquer ?

Pousseriez-vous le hurlement du Massimo Gargia si la France gagnait la prochaine coupe du monde ? Non. Alors ne poussez pas celui du coq. De toute façon vous n’en aurez pas l’occasion : on va perdre, avec notre équipe de branques, c’est certain, j’vous le dis.

Et puis Cocorico, tout de même, quelle laideur. Dans Cocorico, il y a coco, et il y a rico. Le premier est le nom d’un chimpanzé, ou le sobriquet dont sont affublés les mannequins par les photographes qui les couchent sur la pellicule ; le second est le mâle de la Rika Zaraï ; le tout est d’une indigence qui pousse à l’évanouissement, à un tel point que face à ça manger des moules tièdes s’avère un jouissif divertissement.

Il y a dans ce cri de crétin à crête toute la fierté, toute la fatuité du coq, petit seigneur de sa cour qui se trouve toujours bien con une fois qu’il est dans un four. Il y a, dans la sonorité même du mot, et les mouvements labiaux qu’il pousse à exécuter, la beauferie la plus totale, la vanité la plus exaspérante, et le machisme le plus dégueulasse. A-t-on déjà vu une femme lancer ce cri ?

Et d’ailleurs, pourquoi pousser un cri, quel qu’il soit ? Quel est donc ce bas instinct primaire qui nous incite à hurler dans les oreilles des autres pour leur faire comprendre qu’on est content d’avoir gagné ? Pourquoi être agressif comme ça ? Ne peut-on pas, mon ami, mon frère, se faire part de nos joies et nos peines en toute intimité, autour d’un petit vin blanc ? Poser les armes, prendre les clopes, et papoter sereinement avec le Velvet Underground en fond sonore ? N’est-ce point possible ? Pourquoi faudrait-il que tu exacerbasse tes sentiments de telle manière qu’ils empiètent sur ma placidité ? Mes oreilles n’ont pas d’odorat, tu le sais ; alors pourquoi s’échiner à leur envoyer ton haleine dont je suppose pourtant, parce que je ne suis pas un homme de préjugés, qu’elle est très fraîche ? Faisons la paix, mon semblable. Et évitons de brailler cocorico, je t’en prie.

C’est pourquoi nous ne tenterons même pas de remplacer ce répugnant cocorico par un autre cri ; ce serait rentrer dans le jeu des chauvins de France et de Navarre (j’inclus les Navarros dedans parce que je ne sais pas où se trouve leur lieu de résidence ; je crois que c’est un pays à nains nommés Roger). Ce serait concéder qu’il est louable de vouloir montrer son émotion à tous les passants.

La vraie joie est silencieuse, aimait à dire, euh, expliquer comme il le pouvait, mon voisin muet. Rendons-lui alors hommage, avec tous les muets, par cette minute de, euh, silence.














Merci.
(Celui qui a pété est prié de venir se dénoncer.)

GAME OVER

Bienvenue dans une nouvelle édition de Thibendo - L'actu de la semaine

Voici la 13è édition de Wii info.
Cette émission a été réalisé par TEOX.

Au programme :

- un Wii info un peu spécial proposant un tour d’horizon des jeux les plus attendus en cette seconde moitié d’année.



Pour info, la prochaine édition de Wii Info sera diffusé le 31 mai prochain.

Magie de rue avec David Blaine.

Vraiment exellent mdr .



J'adors la gueule que fais David Blaine > !!

Amis de la nature et ennemis de la culture, adorateurs des fleurs et détracteurs des pollueurs, amateurs de pique-niques et niqueurs de réacteurs nucléaires, pédaleurs de l’extrême et piétons anti-pollution, ce message s’adresse à vous.

Il est temps d’en finir avec cette tradition qui veut, depuis le siècle des Lumières, lesquelles ont éteint toute l’intelligence de l’humain en voulant lutter contre la bêtise du divin, que l’on doive, parce que l’Homme est supérieur à tout et est au centre du monde (sauf le noir et le juif évidemment), tenter de prendre de la hauteur vis-à-vis de la nature, et donc vis-à-vis des pâquerettes, végétal innocent qui ne demande rien de mieux que l’épanouissement de ses pétales quittant leur position fœtale dans une chorégraphie matinale accompagnant gracieusement le lever du soleil dardant de ses rayons les champs de coquelicots que la campagne offre à nos regards émerveillés tandis que nous pétaradons sur la RN 5 au volant de notre vieille Safrane Diesel, et que nous disons à notre enfant qui, en sept ans de vie, n’a rien connu d’autre que les scooters slalomant entre les voitures de la rue Mon Désert et les clochards de la rue Saint Jean et les pots d’échappement à hauteur des narines et les cigarettes de ses parents et la violence de ses camarades et les dessins animés de TF ! et sa peluche de renard, son seul compagnon de tendresse, que la nature est belle à l’aune de la lumière de l’astre autour duquel gravite notre système, et alors il nous demande ce que c’est que l’astre autour duquel gravite notre système, et nous lui répondons que c’est le soleil, que c’est le plus grand des astres, et qu’il ne faut pas confondre avec l’humanité, qui est le plus grand désastre, et j’ai paumé le début de ma phrase alors merde je l’arrête ici.

La pâquerette est douce, mélancolique, et belle. Elle est la fleur des amoureux. Le destin d’une pâquerette est simple : tôt ou tard elle sera arrachée à la terre par un adolescent ou sa version féminine, qui s’emparera de ce petit soleil et de ses pétales pour les lui arracher un à un en récitant un rituel particulier consistant à dire, dans un état de contemplation face à ces délicates petite feuilles blanches, « elle m’aime un peu ; beaucoup ; à la folie ; pas du tout », certainement dans l’espoir que la personne qu’il aime l’aime aussi, et que le fait de tomber sur « à la folie » lui ouvre les portes de l’amour et du bonheur. La pâquerette, en voyant ce boutonneux réciter à travers son appareil dentaire ce chapelet amoureux, se fout généralement de sa gueule ; il faut être sacrément con pour s’imaginer qu’elle, pauvre pâquerette perdue au milieu d’un pré ou d’un jardin public encombré de merdes de chiens, saura lui dire si oui ou non la fille de ses rêves est en mesure de recevoir son amour et de le lui rendre. Donc la pâquerette pouffe. Elle pouffe moins quand elle se retrouve nue, et encore moins quand son dernier pétale correspondait à « pas du tout », auquel cas l’adolescent la plie et l’écrase dans sa main avant de l’envoyer derrière son épaule au pleurant (c’est vous dire à quel point il est bête).

Nous considérons les pâquerettes avec trop de fatuité - et non pas de fatuitude, comme dirait Sarkozy -, mes amis. Car effectivement, la pâquerette détermine notre vie amoureuse à travers le rituel que je viens de décrire. C’est elle qui rend les cœurs amoureux, et c’est elle qui rend ou non la personne que vous désirez amoureuse. Il suffit d’y croire. Personnellement j’y ai cru et me suis quand même pris un râteau, mais il n’en reste pas moins que selon un sondage TNS Sofrès 90 % des Français sont « satisfaits des résultats proposés par les pâquerettes ».

Le secret pour qu’une pâquerette donne un résultat exact ? Rester à son ras. De fait, la pâquerette ne supporte pas de nous voir à deux mètre au dessus de sa petite tête jaune. Imaginez un peu la vision : des jambes, infinies, un bassin, énorme, et des narines profondes ou une poitrine dont la fleur craint qu'elle tombe (pour résumer). Alors que si l’on se met au ras des pâquerettes, c’est nos yeux que nous leur offrons, et c’est notre âme, et c’est là que la pâquerette nous aime et nous aide.

Donc les amis, gardez en tête mon conseil : restez au ras des pâquerettes, au lieu de vous mettre au pas du racket.

Je vous propose aujourd'hui une vidéo qui retraçe les 15 ans de Disneyland Resort Paris , ou l'on retrouvera les grands moments de cette destination de loisir.
Inauguration , Ouverture de Space Mountain , Inauguration des Walt Disney Studios ect..

Attention, mes ami(e)s, voici l'histoire la plus étrange que je vous raconterai, peut-être ne me croirez vous pas, mais je peux vous dire que je l'ai vu de mes propres yeux, et si vous me croyez pas, faites appel à votre imagination...

Par un beau matin d'octobre 1993, un événement étrange alimentait les rumeurs les plus folles dans la ville du Havre: un géant serait apparu au plein milieu du principal rond-point de la ville. Intrigué par cette folle rumeur, beaucoup de monde s'est précipité à ce rond-point, la nouvelle paraissait tellement iréelle...Mais elle l'était; un géant était là, tombé du ciel dit-on, attaché en plein milieu du rond-point, action faite par les hommes craintifs de son réveil...Il dormait, oui, en plein milieu de la ville, mais il révait de quoi? Cette découverte en tout cas avait fait son petit effet, ce n'était pas une gigantesque farce...
Le lendemain, des choses encore plus étranges se passérent, un bus fut littéralement coupé en deux, une fourchette géante plantée dans une voiture en face de la gare, plusieurs traces à travers la ville, et pourtant le géant n'avait pas bougé...Serais-ce l'oeuvre de petits malins qui essayait de profiter de la situation? A priori non...Le géant semblait, à travers ses rêves, vouloir communiquer avec les humains, mais ces humains prirent peur de ça et il fut décidé que le géant ne nuirait plus...Le jour suivant, il fut lever, attaché, et réveilllé, pour ne pas qu'il se rendorme, il fut mis en place des lumières qui l'éclairait nuit et jour...Il lui était interdit de réver, lui qui ne cherchait que ça...Le monde des humains étaient trop cruel pour lui, c'est pour cela qu'il décida de repartir vers d'autres horizons pour trouver une place où réver serait permis pour lui...On ne savait pas si il l'avait trouvé mais une chose est sur, au Havre tout le monde se souvient de ce géant pas comme les autres...Il est parti du jour au lendemain sans laisser de trace...Jusqu'au jour où, un an plus tard, il fit sa réaparition, encastré dans une maison du rond-point! Signe que le géant redevenait hôte de la ville pour quelques jours....Il les a passé à déambuler dans la ville, à contempler ce monde qui fourmillait d'admiration, de crainte, de respect devant lui; le géant réveur découvrait la réalité, avant de repartir au loin réver...D'ailleurs on ne sait toujours pas si il l'a trouvé mais il a eu un fils...


Ainsi dont, vous me prenez pour un fou?



[Pour l'explication, c'est un spectacle du groupe Royal de Luxe connu à travers la France => allez sur ce site pour en savoir plus et bonne visite personellement j'irai les revoir dès qu'ils passent ].

Et pour finir ... le Spot TV de Forza Motorsport 2

Je vous présente la secrétaire le plus rapide au monde ....



Voyez par vous meme !

Mes ami(e)s aujourd'hui j'ai décidé de faire le portrait de quelqu'un a qui j'ai laissé sa chance sur Imagine et qui a plus que rempli le contrat. Depuis peu patron de deux grands blogs sur JF, vous l'avez reconnu! Il s'agît de Jakal bien sur...Jakal c'est un peu celui qui veut à tout pris réunir tout le monde, Jakal c'est un peu le petit qui veut se faire une monde parmi les grands, et qui réussit d'ailleurs. Sorti de nulle part un jour de février 2006 pour me demander une place sur Imagine, j'ai tout de suite accepté, car à partir du moment où l'on demande, c'est qu'on est motivé. Il ne semble pas recherché la gloire, il ne semble pas rechercher le profit mais il recherche à faire plaisir à le plus de monde. Ah lui et ses utopies...L'homme parfait! et il est avec Asukaaa, Another, Dardevil et moi les plus grands utopistes de JF, je pense même qu'il serait chef de file avec Asukaaa! Ne vous fiez pas à sa rubrique du Jakal Enchainé qui n'a pour but que de faire rire, en faisant peut-être grincé des dents (rarement...), Jakal est un poète. Court, jamais compliqué, il est direct...Direct tout en restant aimable! Du moins quand un sujet ne le révolte pas...Enfin faut dire qu'il parle souvent de sujets révoltants! Je crois en la nouvelle génération d'engagés qui va arriver et j'espère, si tu y es Jakal, que je t'y croiserai si j'en fais parti.