Voilà que je me baladais dans mon cerveau et sur quoi je tombe, une image de Super Metroid. Du coup je me dis que je vais aller choper une bonne image, mettre ça sur fesse-bouc et tagger ceux avec qui je me disputais la manette. Et je tombe sur cette superbe image.
Cela m'a conduit sur le site suivant où un gars qui n'a pas deux mains gauches montre le cheminement.

http://www.dsogaming.com/news/this-is-what-a-hd-remake-of-super-metroid-could-look-like/

Du coup je me suis dis qu'un metroid comme ça , ça a des chances de faire vendre 2 3 wiiu de plus.

Les costumes et sont plutôt bien faits.

L'inventeur Seijiro Tomita est un ancien employé de Sony, et l'homme accuse aujourd'hui Nintendo de violer un de ses brevets concernant la 3D de la Nintendo 3DS.
En effet, l'homme, après avoir quitté Sony en 2002, affirme avoir rencontré 7 responsables de Nintendo afin de leur soumettre sa dernière trouvaille, une technologie permettant d'afficher des images en 3D sans utiliser de lunettes.
Tomita avait alors déjà déposé un brevet auprès des institutions nippones, lequel était toujours en cours d'étude au moment de la rencontre. Le même brevet a été déposé aux Etats-Unis en 2008, soit 3 ans avant le lancement de la portable de Nintendo.
La où cela devient étrange, c'est que monsieur Tomita a récemment découvert que quatre des sept personnes qu'il a rencontré ce jour là auraient travaillé sur la Nintendo 3DS. L'inventeur, se sentant "blessé et trahi" d'après son avocat, demande une indemnité de 9,80 dollars par console vendue.
Quand on sait que plus de 29 millions de machines ont été écoulées dans le monde, cela représenterait plus de 280 millions de dollars. Une coquette somme...
De son coté, Nintendo affirme que la société avait déjà rencontré quatre autres personnes pour des technologies liées à la 3D, ajoutant qu'il s'agissait là d'une entrevue parmi des centaines.
La justice de New York se penchera sur la chose prochainement afin de trancher. Nul doute que si jamais la demande de l'homme est légitime, un accord pourrait être trouvé avec le géant nippon afin d'éviter de débourser une telle somme.

6 ans après son arrivée dans le commerce, la Playstation 3 vient de se voir ouvrir les portes de la Chine : le pays vient de donner son autorisation à Sony pour y commercialiser sa console, jusque-là interdite de territoire.


Bien que la Chine soit le pays de prédilection pour la construction de consoles de jeux, le gouvernement local a banni ces mêmes produits de ces étals en 2000. Xbox 360, Wii ou encore PS3 n'y sont pas les bienvenues, et les rares dispositifs vidéoludiques proposés sont farouchement contrôlés, à l'instar de la console développée par Lenovo. Il reste malgré tout possible d'obtenir une console, normalement interdite, via l'importation.

Néanmoins, la Chine semble avoir décidé de lâcher du lest, en accordant à Sony le China Compulsory Certificate (CCC) qui autorise la firme à commercialiser sa Playstation 3 dans le pays. Délivrée en juillet, cette certification permet à l'entreprise japonaise de commercialiser sa console en Chine jusqu'en 2016.

Mais l'autorisation de vendre sa console en Chine ne signifie cependant pas la fin des difficultés pour Sony : en effet, outre la machine elle-même, il y a également la question des jeux, puisque le pays ne dispose pas de système de classification. Les prix peuvent également être un frein, puisque Sony ne peut pas proposer sa console au même tarif que dans des pays où le marché du jeu vidéo est développé.

En somme, malgré le feu vert des autorités chinoises, la PS3 pourrait avoir encore de beaux jours devant elle sur le marché gris de l'importation avant d'espérer effleurer officiellement les étals du pays.