Alors que le verdict est attendu pour le 2 juillet dans le procès des trois anciens cadres d’Ubisoft jugés pour harcèlement moral et sexuel, Franceinfo donne la parole à plusieurs ex-salariés de l’entreprise. Leurs témoignages, recueillis en marge des audiences, dressent un constat sans appel : pour nombre d’entre eux,
le plus dur a commencé après leur départ d’Ubisoft. Isolement, perte de confiance, précarité... La reconstruction est souvent lente, et semée d’embûches.
Les prénoms ont été modifiés.
Nathalie* : "Je sais que j’ai été blacklistée"
Nathalie* a été l’une des premières à porter plainte en 2021. Elle n’a pas quitté une seule audience du procès. Pour elle, ce qu’elle a vécu dans l’entreprise l’a "broyée". Depuis, elle n’a pas retrouvé de stabilité professionnelle. Elle soupçonne être tenue à l’écart du marché de l’emploi :
"Je sais que j’ai été blacklistée", explique-t-elle à
Franceinfo. Elle touche aujourd’hui le chômage et vit grâce à ses économies. Elle avoue se méfier de toute dynamique hiérarchique dans un cadre professionnel, et analyse chaque interaction à travers le prisme du contrôle, de l’abus potentiel ou du non-dit.
Elle décrit l’industrie du jeu vidéo comme
"extrêmement incestueuse", un petit monde où tout le monde se connaît. Un mot de travers, et vous êtes grillé.
Peter* : "Ce qui m’a détruit, c’est d’avoir été mis au placard"
Entré chez Ubisoft en 2015,
Peter* raconte une désillusion rapide. Il parle d’une
"ambiance de chambre d’enfant tyrannique" où il n’y avait
"aucun garde fou". Ce n’est pas le métier qui l’a écœuré mais les conditions internes, le sentiment d’être ostracisé. Délégué du personnel, il avait tenté d’alerter, sans succès. Il dénonce une entreprise dans laquelle
"le droit semble suspendu à la porte de l’entrée".
Il a fini par quitter Ubisoft en 2018, après avoir payé un avocat pour cadrer sa sortie. Des années plus tard, il confie avoir encore du mal à contenir l’émotion en évoquant cette période :
"Je ne savais pas si j’aurais la force de venir en parler", a-t-il dit devant les juges, la gorge nouée.
Arnault Labaronne : "Je n’ai plus jamais pu remettre les pieds dans une boîte avec un organigramme"
Ancien manager chez Ubisoft,
Arnault Labaronne a quitté l’entreprise en 2015, dans le cadre d’une rupture conventionnelle assortie d’un chèque de 15 000 euros. Ce départ a été pour lui une nécessité vitale : il raconte un burnout sévère, avec des séquelles persistantes (douleurs articulaires, perte d’audition d’une oreille, crises d’angoisse).
Aujourd’hui, il dit avoir retrouvé un équilibre, mais uniquement en dehors du salariat. Il n’a pas souhaité porter plainte, considérant avoir "fait le tour" de cette histoire. Pour lui, retourner dans une structure classique avec hiérarchie est tout simplement exclu.
Clarisse* : "Je surinterprète tout, les gestes, les mots"
À 22 ans,
Clarisse* intègre Ubisoft dans un poste de communication. Dès les débuts, elle ressent un malaise profond : regards insistants, silences pesants, messages à caractère sexuel en cascade quand elle s’assoit devant son écran. Son supérieur résume la situation en comparant son interface à
"un arbre de Noël qui clignote".
En 2015, après avoir tenté de faire remonter ces comportements, elle est licenciée. Elle gagnera plus tard aux prud’hommes pour licenciement abusif, mais sans avoir pu faire reconnaître les faits de harcèlement (prescrits au moment de la plainte). Aujourd’hui, elle dit vivre dans une forme d’hypervigilance permanente au travail. Elle panique à la moindre proposition informelle d’un collègue. Le salariat est devenu pour elle une zone de stress.
Benoît* : "Depuis Ubisoft, je n’ai pas réussi à remettre les pieds dans une entreprise"
Benoît* fait partie des parties civiles au procès. Il raconte une période post-Ubisoft marquée par des pertes successives : de poids, de sommeil, de repères. Lors de son expertise psychologique, il déclare vomir
"quasiment tous les jours" et refuse de postuler dans le moindre studio. Il préfère ne rien risquer, quitte à mettre sa situation financière en péril.
"De toute façon, je n’ai rien à perdre", lâche-t-il.
Il a tenté de se relancer en freelance, mais vit dans une grande précarité. Il explique qu’après le confinement, il s’est retrouvé sans domicile fixe. Aujourd’hui, il continue de créer, mais sans repère, sans confiance :
"Artistiquement, je me sens nul." Malgré tout, il refuse d’abandonner sa vocation.
Un secteur jugé hermétique et intimidant
Pour les syndicats interrogés par
Franceinfo, ces situations ne sont pas isolées.
Pierre-Etienne Marx (STJV) parle d’un environnement professionnel où dénoncer ses supérieurs revient à
"mettre son nom en charpie". Il souligne que prendre la parole demande un courage énorme, surtout dans une industrie
où des dirigeants se vantent encore de pouvoir "blacklister" un salarié d’un simple appel.
Même analyse du côté de
Chakib Mataoui (Solidaires Informatique), qui rappelle que les métiers techniques ou artistiques du jeu vidéo laissent peu de marges de manœuvre pour se reconvertir.
Ceux qui osent parler se retrouvent parfois enfermés dans leur isolement.
Pendant ce temps, les mis en cause…
Selon les informations de
Franceinfo, les trois cadres jugés ont quitté
Ubisoft après les révélations de 2020, mais leurs situations sont très inégales.
-
Serge Hascoët, ancien numéro 2 du groupe, déclare
percevoir aujourd’hui plus de 20 000 euros par mois, via une entreprise de conseil, des droits d’auteur et la location d’un bien immobilier.
Il gagnait plus de 50 000 euros mensuels à l’époque des faits.
-
Tommy François est devenu autoentrepreneur, avec des revenus de 6 000 euros en 2023 et 9 000 en 2024.
-
Guillaume Patrux, enfin, affirme ne plus avoir de revenus fixes et dit ne plus réussir à joindre les deux bouts.
Un système à deux vitesses
L’avocate du STJV,
Sophie Clocher, a résumé ce sentiment d’injustice à l’issue des audiences :
"Si on est là, c’est parce qu’on a des femmes, des minorités, qui sont devenues des fantômes."
Des fantômes qui, dans certains cas, peinent encore à exister aux yeux de l’industrie.
L’enquête de Franceinfo montre bien que derrière le procès, il ne s’agit pas seulement de juger des faits passés, mais de questionner un système qui, jusqu’ici, semble mieux protéger les agresseurs présumés que ceux qui ont osé parler.
L’avocate du STJV, Sophie Clocher, a résumé ce sentiment d’injustice à l’issue des audiences : "Si on est là, c’est parce qu’on a des femmes, des minorités, qui sont devenues des fantômes."
je ne sais pas comment un avocat peut se permettre de tenir des propos discriminatoire et pouvoir encore passer a la barre... parce que ca doit pas jouer en faveur de la défense ce genre de citation
La direction générale va aussi devoir rendre des comptes, sans compter les RH.
Ben non bien sur si tu subis du harcèlement dans ta précédente boite et que ca a des conséquences actuelle sur ta vie, c'est pas du tout la faute de la boite ou t'as subit le harcèlement en question, c'est la faut au hasard j'imagine...
"Si on est là, c’est parce qu’on a des femmes, des minorités, qui sont devenues des fantômes."
"des propos discriminatoire et pouvoir encore passer a la barre..."
T'as fumé quoi ? En quoi c'est discriminatoire vu que c'est juste des faits ! Tu bosses pour Ubi ou quoi ?
jp67110 ben visiblement non la direction et les RH n'auront pas de comptes à rendre et c'est bien là le problème car ils n'ont pas été convoquées ni accusées dans ce procès qui concerne uniquement les 3 mecs.
bennj Pas impossible qu'il y ait un autre procès. Le code du travail indique tout de même que l'employeur est le garant de la santé et la sécurité. En l'état, il y a un défaut de protection de l'employeur. A voir.
Sans parler du fait que là, ont entend seulement les personnes qui ont eu le courage de parler.
Personne ne me fera croire que cette merde de guillemot n'était pas au courant, c'est impossible que le mec n'en ai jamais entendu parler.
Il a sûrement aider à couvrir et étouffer la majorité de ce genre de choses.
De toute façon, il n'y a pas d'autres solutions, cette entreprise de merde doit couler, sinon rien ne changeras.
La destruction doit être totale car le fruit est trop pourri.
Je sais que c'est en cours et que l'autre guignol est train de se cacher dans sa nouvelle boite avant la faillite, mais ce serait bien si ca pouvait être plus rapide.
Heureusement, ca ne devrait plus être très long, et avec un peu de chance, ils serviront d''exemple pour les autres boites.
c'est bon pour les fragiles ca, ceux qui se survictimise... quand je lis dans les commentaires :
"Artistiquement, je me sens nul." Malgré tout, il refuse d’abandonner sa vocation.
c'est qu'il n'ont pas envie de résoudre leur problème...
T'as fumé quoi ? En quoi c'est discriminatoire vu que c'est juste des faits ! Tu bosses pour Ubi ou quoi ?
non et je les déteste, mais qu'un avocat parle de femme et de minorité ethnique plutot que de victime (qui regrouperait toute les victimes) indique un partit pris dans la défense et donc non objectif, et donc peut donc mettre la défense en défaut et donc réduire son impacte...
comme je l'ai dis dans ma première phrase, je suis d'accord que les coupable ne sont pas assez sévèrement puni , mais attention a ne pas tomber dans le sens inverse a vouloir défendre les victimes non plus et ca, ca arrive très souvent aussi
jp67110 Burnout -> Stress post trauma (possiblement) -> Dépression. Sans suivi adapté, c'est très compliqué de reprendre sa vie en main.
oui, alors c'est plus nuancé que ca, le burnout tu peux l'éviter en quittant ton job... si tu atteint le burnout c'est déja qu'il y a un soucis autre que dans l'entreprise , donc oui ca peut arriver et ca doit être suivi mais ce n'est pas que du a l'entreprise le burnout...
Ma femme est infirmière en psychiatrie, elle est outrée par ce que tu dis...
Tu ne sais pas de quoi tu parles évidemment (et c'est pas grave en soit)
ah bein ca me fait plaisir, pour le coup...
jp67110 tu sais j'ai fréquenté quelque entreprise bien pire qu'ubi (d'après ce qui est raconté car j'ai pas travaillé chez eux bien que c'est applicable a beaucoup d'autre boite), donc des burnout j'en ai côtoyer, et pire que ca aussi, mais j'ai vu aussi ceux sur qui ca tombait et ceux qui s'en sortait très bien et ceux a qui ca allait arriver, il se voyait des le premier jour dans la boite...
La littérature sur le sujet est vaste. Le jour où tu en feras un ou un proche (je te le souhaite pas), tu comprendras.
les gens ne sont pas lier a un travail... ils ont le droit de le quitter si ca ne va pas..., le burnout c'est justement parce qu'ils ont déja d'autre soucis ailleurs et qu'il préfère continuer plutôt que d’arrêter...
et puis si ils tombaient tous , il n'y aurait plus d'entreprise car plus de travailleurs... donc bien sur que si c'est une question de fragilité d'individu, j'ai quitter plusieurs boite a cause de leur politique infâme et maladive, je n'ai jamais fait de burnout, alors soit je suis plus costaux que les autres soit c'est que le problème est bien ailleurs et je ne suis pas le seul dans le cas...
La littérature sur le sujet est vaste. Le jour où tu en feras un ou un proche (je te le souhaite pas), tu comprendras.
Et une pièce a toujours 2 faces, mais les gens ont tendance qu'a n'en regarder qu'une seule... et c'est un des plus gros problème de la société
Comment tu peux être si inhumain ca me dépasse. Mais bon comme d'hab tu répondras pas, c'est plus simple de balancer sa bouse et se casser comme un lache. Tu dois clairement vivre tout seul sans jamais voir personne pour sortir des saloperies pareil.
keiku "c'est bon pour les fragiles ca, ceux qui se survictimise" > C'est vrai vachement mieux de faire comme toi et d'aller dans le jugement sans savoir ce qui se passe dans la vie de chacun. Ca te fait quoi de pas avoir d'empathie ? D'en avoir que faire de ton prochain ? A un moment si t'as besoin d'aide vu la manière dont tu vois les autres faut aller consulter, et non allez voir un psy c'est pas être fragile c'est faire preuve de courage. D'ailleurs ca veut dire quoi être fragile, c'est censé être une insulte ? On en revient toujours à la même chose. Le manque d'empathie.
yogfei c'est fou toutes ses personnes qui n'arrivent pas à comprendre la détresse des autres et qui ne voit que leur propre personne. Moi je vais bien alors ca doit être pareil pour tout le monde. On a quand même deux beaux cas juste au dessus. A croire que si ils voyaient une personne qui pleure dans la rue au lieu de lui demander ce qui ne va pas, non ils lui crachaient au visage en les traitant de "fragile". Ce monde va vraiment mal.
Mais toi tu pousses encore plus loin : tu regardes ceux qui ont fini dans le fossé et tu leur expliques qu’ils ne savaient pas conduire.
Tu parles de voir "dès le premier jour" qui va craquer mais personne n’a d’airbag invisible ni de warning sur le front. Ce n’est pas une question de profil, c’est une question d’obstacles, de contexte et de trajets plus cabossés que le tien.
Ta "lucidité" c’est juste la facilité de croire qu’on est à l’abri tant qu’on tient le volant. Sauf qu’un accident ça peut arriver à n’importe qui et si un jour tu quittes la route, j’espère que personne ne viendra t’expliquer que tu l’avais mérité ou qu’on le "voyait venir" depuis le départ.
T'es vraiment un sinistre connard ( et je pèse mes mots )
Sérieux, un peut de compassion ça vous arracherait la gueule ?
Mais toi tu pousses encore plus loin : tu regardes ceux qui ont fini dans le fossé et tu leur expliques qu’ils ne savaient pas conduire.
plus précisément, je les préviens avant, mais il me réponde qu'ils ont le permis et qu'ils savent conduire, et vu que je peux pas empècher les gens de faire des conneries, la seul chose que je peux dire après coup, c'est tu avais été prévenu...
Tu parles de voir "dès le premier jour" qui va craquer mais personne n’a d’airbag invisible ni de warning sur le front. Ce n’est pas une question de profil, c’est une question d’obstacles, de contexte et de trajets plus cabossés que le tien.
bien sur que c'est une question de profile, alors oui je ne dis pas que tous le monde a la même vie mais l'expérience m'a apprise que quand il t'arrive une couille c'est souvent 50% de ta faute... les gens sont responsable de leur choix, mais souvent rejette cette responsabilité sur les autres...
Ta "lucidité" c’est juste la facilité de croire qu’on est à l’abri tant qu’on tient le volant. Sauf qu’un accident ça peut arriver à n’importe qui et si un jour tu quittes la route, j’espère que personne ne viendra t’expliquer que tu l’avais mérité ou qu’on le "voyait venir" depuis le départ.
bah c'est juste que quand on voit une victime dépasser la vitesse maximale, ne pas mettre son clignoteur, et puis se faire percuter par un autre, c'est peut être l'autre qui est en tort, mais je n'ai en effet aucune empathie pour la victime dans ce cas...
furtifdor T'es vraiment un sinistre connard ( et je pèse mes mots )
tout a fait mais vaut mieux être un connard franc et réaliste qu'un hypocrite qui se victimise ou victimise les autres, car la victimisation c'est aussi un des fléaux moderne de la société
Je précise meme, t'en es un gros !
ça tiendrait qu'à moi, tu serais déjà ban
Reste à l'ombre bien à l'abris derrière ton clavier
CLOPORTE !
Vous aurez forcément tort et lui aura raison quoi qu'il arrive.
Dites lui que 2+2=4, si il vous réponds "non ça fait 5", alors 2+2=5.
Ban d'une semaine pour propos outrancier.
Tu vas beaucoup trop loin là.
1) C'est 100% ta faute.
2) Je compte sur toi pour ne pas tomber dans la victimisation.
Je ne tai pas insulté, je n'ai fais que décrire ce que tu es !
Si t'es assez faible pour ne pas pouvoir encaisser ça, t'as rien à faire dans cette société de mal alpha
Cependant, il est vrai qu’une partie du problème réside aussi dans le fait que nous sommes tombés dans une société qui isole les individus, les rendent dépendants et vulnérables (pousse à la prostitution des valeurs, du corps et de l’esprit). Dans certains contexte, la tentation peut exister : de se définir par la victimisation, parfois comme seule manière d’exister, de survivre, ou dans certains cas, d’en tirer profit.
On endosse alors le rôle qu’on nous propose, ou qu’on nous laisse, faute de pouvoir être quelqu’un d’autre, nous-mêmes.
J’ai moi-même observé et vécu cette dynamique dans le monde professionnel et, plus largement, dans la société française. Une fracture profonde traverse tous les niveaux de notre société, et ses racines remontent jusu’au système scolaire et éducatif totalement dépassé et arriéré.
Un voyage à l’étranger (même dans des pays confrontés à leurs propres problèmes), vous suffira sans doute pour réaliser que la France (comme d’autres nations occidentales), traverse une crise civilisationnelle majeure.
Cette crise se manifeste avant toute chose au travers des relations humaines, de la degradation de la civilité, marquées par des schémas comportementaux dysfonctionnels et une régression de la maturité psychique : manque de confiance en soi, difficultés à de la gestion émotionnelle, dépendances comportementales, troubles dysmorphiques, anxiété et angoisses quasi permanentes. Ce n’est pas pour rien qu’on est un pays de droguer (médicaments, opiacés, drogue douce et dur, alcool ect.).
À cela s’ajoute une société qui ne fait plus corps, où les individus sont réduits à des étiquettes identitaires ou communautaires pour exister socialement – femme, homme blanc, homosexuel, transgenre, cisgenre, arabe, juif, asiatique, handicapé, etc. – au détriment d’une identité collective basé sur des valeurs partagée et des principes personnelle authentique.
Ce morcellement est aggravé par l’incapacité de beaucoup à exprimer leurs ressentis et élaborés des chemins de pensées clair et structuré, faute de vocabulaire, de maîtrise dialectique ou d’une quelconque aisance dans le langage (pire, on sera plus facilement accepter et cool si on s’exprime de facon regressive).
Les élites parasitaires qui dirigent le pays sont déconnectées et s’entendent dans une pièce de théâtre bien rodé, relayer par les médias de grandes écoutes (présenter par des stars putes du système) et ainsi veillant à bien garder la chape de plomb qui leurs permet de vivre sous perfusion du vol organisé sur le travail des classes inférieurs. Ils ne font qu’accentuer les malaises, l’ambiance moribonde sans perspectives d’avenirs fleurissantes, tout en nourissqnt les fractures qu’ils ont eux-memes engendrées en enfermant le peuple dans une pensée binaire, attisant les conflits entre deux camps sans jamais proposer de solutions viables.
Cette dynamique conduit à une société éclatée, où la cohésion sociale s’effrite au profit d’une fragmentation identitaire et émotionnelle. Les individus, prisonniers de leurs étiquettes et de leur incapacité à communiquer, s’enfoncent dans un cycle de méfiance et de repli sur eux-mêmes avec tout un tas de séquelles psychologiques qui en résultent quand cela ne se transforme pas en violence contre l’autre.
Cette crise, loin d’être uniquement française, reflète un malaise occidental plus large, où la perte de sens collectif et l’absence de vision commune empêchent l’émergence d’un projet de société fédérateur. Pour en sortir, il faudrait franchement repenser l’éducation de fond, encourager l’expression authentique et promouvoir une culture du dialogue, capable de transcender les clivages et de redonner du sens à la communauté nationale.
En sommes : Bonne Chance !
L’histoire Ubisoft, c’est le reflet de ce qui ce passe avec la société française au sens plus large.
[edit - précision de mon propos : La justice, de son côté, doit impérativement reconnaître le caractère oppressif d’un acte et la réalité du statut de victime. Elle doit sanctionner l’agresseur, mais aussi lui permettre un véritable chemin de repentance. Car une simple amende est insuffisante et non constructive : ce sont bien souvent les plus favorisés qui en sont le moins affectés. Mais au-delà de la sanction, la société a aussi le devoir de permettre à la victime de sortir du rôle dans lequel l’agresseur — et parfois le système — l’a enfermée. Elle doit pouvoir se reconstruire en tant qu’individu, et non pas uniquement en tant que victime, mais en tant que personne à part entière — favoriser la résilience et l'émancipation].
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T’as écrit un pavé sociologique pour éviter de dire l’essentiel : quand y’a des agresseurs, on les tient responsables. POINT
Surtout sur quelque chose qui tien tu harcèlement et de l'agression à caractère sexuelle
Pas besoin d’un exposé sur la décadence de je ne sais quoi...
Tes un peu risible toi aussi
Excuses acceptées tant qu'on en reste là.
Et le ban est là aussi pour justement mettre fin au bordel car sinon, c'est moi qui serais tombé dans l'insulte, ce qui serait quand même cocasse vu ma position.
Le "quand il t'arrive une couille c'est souvent 50% de ta faute", c'est au-delà de l'intolérable quand on sait le nombre d'affaires choquantes que ce pays a connu. Si la conversation continuait, à deux doigts qu'il allait nous dire que les femmes violées à leur taf, c'est en partie à cause du fait qu'elles mettent parfois une jupe.
Sur le sujet Ubisoft, ce que je lis depuis deux trois jours me révulse au plus au point et me parait même surréaliste à bien des égards. Les agresseurs et ceux qui cultivent ça en entreprise de par leurs statuts et leurs pouvoirs sont des gens qui méritent un vrai jugement (ce dont je doute au vu de comment fonctionne le système judiciaire pour les puissants) et un procès mediatique qui mettent lumière de tels agissements pour élargir les consciences.
Donc soit je me suis mal exprimé, soit tu es un peu à chaud et tu as eu une lecture biaisée de part ton échange précédent avec un autre membre.
C'est un peu le BHL de Gamekyo, ça dit beaucoup de conneries, et ça a un ego surdimensionné.
T'as bien du courage merci !
Les agresseurs, on les juge, pas besoin d’un traité sur l’effondrement civilisationnel pour ça.
Pour qu’il y ait un terreau et qu’ainsi des gens puissent agir en toutes impunité, pour que des victimes existent et pour certaines acceptent la victimisation (parfois / souvent avec grandes difficultés et sans armes pour pouvoir refuser) et que tout cela ne soit pas juste cas isolé, il faut un système.
Je me suis déjà exprimé sur les autres sujets en rapport, ce pourquoi j’ai écrit avec plus distance et d’analogie sur celui-ci. Cependant, je comprends très bien que en lisant tes précédents échanges plus haut tu es pu le prendre sous cet angle. Par contre, je pense qu’il est effectivement nécessaire à un moment de se sortir de l’émotionnel et l’événementiel pour traiter les sujets avec du fonds. C’est mon parti pris,
C'est toi qui visiblement a du mal a saisir !
Je comprends que tu veuilles voir les choses avancer, et je suis d’accord qu’il faut continuer à vivre.
Mais quand un procès vient juste d’avoir lieu, c’est encore le début d’un long chemin. S’enfermer, ce n’est pas un choix, c’est une conséquence.
Tu mélange tout !
Tu cherches juste à justifier un fait très grave avec ta vision personnelle de la société, une interprétation que je trouve carrément douteuse.
Alors le jour où on essaie de me faire quoi que ce soit je leur pète la gueule. Ensuite si j’aime pas l’ambiance de travail, je m’en vais le seul endroit où je me sens harcelé, c’est sur des sites de jeux vidéo avec des gens comme vous.
Je ne minimise absolument rien, je dis juste que des fois il faut aussi aller de l’avant .
Et en France, on a cette habitude de victimiser encore plus les victimes eux-mêmes.
Arrêt de travail et compagnie à la moindre occasion, et je ne parle pas évidemment de choses très graves.
On peut se remettre de tout même de la mort de certaines personnes.
Et quand je vois dans mon entourage des personnes se mettant en arrêt, parce qu’on leur a demandé de faire une tâche en plus alors qu’ils font presque rien et de dire qu’après ils se sentent harcelés Oui là je trouve que il y a de l’abus.
ENCORE un avis de connard. C'est clairement le harcèlement moral qui les a traumatisés. Bref t'es exactement le genre de harceleur qui pose problème dans une entreprise : mauvaise fois, provocation gratuite, déni de réalité.
bennj La débilité de son commentaire
Personne se “victimise” pour le plaisir. Si t’as des exemples bidons autour de toi, ok, mais généralise pas.
Et ton délire de “je leur pète la gueule”, c’est pas de la force, c’est de la violence. Pas pareil, dans une entreprise, ça marche pas forcement comme ça ! Perdre son boulot, ça joue beaucoup sur pas mal de monde
Mais il faut poser un cadre clair : soit tu adoptes une posture de parangon du bien, rejetant toute nuance ou tentative de développement du sujet dans une perspective plus large, et dans ce cas, le dialogue sera impossible avec moi.
Soit tu acceptes d’ouvrir et élargir un peu tes perspectives, en essayant de comprendre ce que j’exprime sans passer uniquement par le prisme de l’émotionnel.
Je le répète :
> Ce que j’écris ne constitue en rien un quelconque dédouanement des agresseurs. Bien au contraire.
> Ce que je tente d’expliquer, c’est comment un certain culte de l’entreprise, de l’asservissement et de la dépendance peut continuer à prospérer dans un système qui le fait naître, le nourrit, le protège — et ne le sanctionne que de manière hypocrite, via des amendes largement insignifiantes pour ces structures
(Les amendes ne sont des punitions que pour les pauvres.)
Une agression sexuelle, et un harcèlement, ça reste une agression sexuelle et un harcèlement !
Je comprend juste pas que tu veuille poser des si à ça, t'es pas net dès le départ
T'as réponse prouve bien ta betise
Si tu peux developer que je comprenne en quoi « je ne suis pas net dès le départ » ?
Je pense t’avoir répondu plusieurs fois en développant et nuançant les points que tu soulevais. Où-ai je remis en cause le caractère sexuel de l’agression et du harcèlement ?
Faut arrêter d’être à chaud sur ce sujet
Et merci de m’insulter, ça fait plaisir
Allez, bonne soirée
Ce matin il trollait en disant que je n'avais pas droit de citer Valkyria Chronicles 3 dans les bons jeux PSP parce qu'il était en japonais (il a été patché tfaçon.
Mauvaise foi, déni de réalité, redéfinition arbitraire et personnelle des critères et des valeurs, projection narcissique de sa propre toxicité sur la victime.
Si tu veux faire une étude sociétale, ne blâme pas les victimes au passage, t'es en train de nier les données en redéfinissant les règles, les faits, redistribuant les torts... Bref tu as le même profil psychologique que les harceleurs.
C’est exactement ce que font beaucoup d’agresseurs ou leurs défenseurs — déplacer la charge, intellectualiser l’abus, présenter les victimes comme faibles, voire fautives.
Les seuls dégénérés qui se définissent comme des pseudovictimes et inversent les reproches sont précisément les pervers narcissique qui se choisissent des cibles.
"Désolé", je ne poursuivrai pas la discussion avec toi si tu choisis d’aborder les choses sous cet angle.
Tu résumes partiellement une partie du problème de ce que je viens de développer, en le simplifiant et le détournant pour créer une opposition, et ce n’est pas du tout le but de mon intervention.
Je ne suis pas là pour avoir des échanges conflictuels, mais pour réfléchir et échanger ensemble.
Je constate cependant que ta posture ne relève absolument pas d’une volonté de compréhension mutuelle, mais plutôt d’une démonstration unilatérale, proche du sophisme.
Et honnêtement, je ne vois pas ce que CNews vient faire dans la conversation — je n’ai même pas de télévision.
Enfin, avant de t’aventurer à faire une analyse psychologique des autres, tu devrais peut-être relire tes nombreux commentaires qui parcours ce site sur différents sujets, très souvent vindicatifs ou condescendants.
Peut-être pourrais-tu prendre un moment pour te demander pourquoi ce ton revient aussi fréquemment dans tes échanges ? Et pourquoi si peu de personnes daignent te répondre.
pimoody pimoody
Tu veux jouer les analystes socio-politiques, mais ton discours sent la complaisance et l’inversion accusatoire. Tu intellectualises à outrance pour noyer le réel : il y a eu harcèlement, des victimes, des dégâts. C’est pas une “question de société”, c’est une question de responsabilités individuelles. Quand tu relativises, tu fais exactement ce que les agresseurs veulent : détourner l'attention, embrouiller, diluer les torts. Ce que tu appelles "étude" ressemble à une justification. Assume.
mattewlogan Je te parle pas d’insultes, mais de réalité. Perdre son travail, c’est pas un détail, c’est un choc qui peut briser des vies. Être “à chaud” ou pas, ça change rien à la douleur. Alors merci de minimiser, ça montre bien que tu comprends pas l’impact profond. Bonne soirée quand même.
> Pourquoi cela est-il possible ? Pourquoi cela n’est pas punis sévèrement ? Pourquoi ce sont des phénomène et des schémas qui se répètent à différents niveaux de la société ?
J’assume ce que j’écris (c’est pensé, vécu, assimilé, travaillé et synthétisé comme travail d’analyse), c’est toi ensuite qui en fait cette lecture biaisé. La seul chose que je peux faire c’est expliquer developer et préciser mon propos.
Je ne justifie pas l’injustifiable. Je tente d’expliquer avec de la distance comment cela est rendu possible et comment des gens peuvent se soumettre à des harceleurs et agresseurs. Comment une culture de l’entreprise telle peut se mettre en place avec des victimes et des spectateurs inertes qui acquiesces/subissent et des pouvoirs décisionnaires qui camouflent.
Une agression sexuelle reste une agression sexuelle, un harcèlement reste un harcèlement.
Comme dit rickles ta théorie fumeuse tout droit sorti de CNEWS, sur la “culture d’entreprise” ou “le système” qui permet tout ça, c’est juste un moyen de noyer le poisson et de minimiser la responsabilité des agresseurs.
Arrête ton cirque, ça sert à rien à part te décrédibiliser encore plus.
Le réel, c’est que des personnes ont été blessées, POINT.
Si t'as du mal à comprendre ça, on peut plus rien pour toi !
Se contenter d’un traitement émotionnel, c’est rester dans la réaction immédiate — et donc enchaîner les événements similaires sans jamais questionner, ni transformer le fond, sans redéfinir les schémas comportementaux.
> Pas de culture d’entreprise ? (Pourtant, ce point est mentionné par les victimes elles-mêmes.)
> Pas de système permissif ? Pas de justice à deux vitesses ?
(Mettre en lumière des causes systémiques, c’est forcément minimiser les responsabilités individuelles ?)
« Des personnes blessées, meurtries, ayant subi des préjudices psychologiques » Bien sûr !
Mais à aucun moment ce que j’explique ne nie cela. Bien au contraire.
Ce que je décris à pour vocation à creuser et aller chercher les racines profondes, les causes sous-adjacentes, les embranchements structurels qui permettent à certains de développer et exercer leurs dérives, souvent même avec l’assentiment tacite d’un système.
Pour moi, cette approche du questionnement du système et de la structure, est non seulement saine, mais indispensable.
Car au-delà de la gestion des cas individuels (qui est évidemment nécessaire et attendus), il y a un travail de fond, une prise de conscience collective à initier pour que ce genre de situations cesse d’être toléré (ou puisse ne pas l’être) — que ce soit par les décideurs, les victimes ou par les dynamiques de groupe qui banalisent, couvrent ou ignorent.
À ce stade, je ne vois plus l’intérêt de discuter : on tourne en rond, et ta posture est complètement déconnectée du vécu des victimes.
T'es complètement ravagé de la caboche
(inversion des valeurs)
Heureusement, que j’écris aussi pour les courageux lecteurs.
Merci du compliment en tout cas
- Tu connais : Don Quichotte ?
« Don Quichotte, croyant affronter des géants, attaque en réalité des moulins à vent. »
(il se bat contre des ennemis imaginaires, ou lutte avec énergie contre des problèmes mal identifiés)
Exactement ce que dirait un pervers narcissique. Tu ES un pervers narcissique.
Heureusement que je ne vous prends pas au sérieux, vu la facilité avec laquelle vous insultez tout ce qui passe sous votre radar.
Mais à force de brandir le terme “pervers narcissique” à tout bout de champ, faudrait peut-être envisager une psychanalyse (j’ai des confrères compétents en la matière si tu as besoin d’un contact).
Parce que ce genre de posture commence à ressembler à du harcèlement de masse avec une paranoïa sous-adjacente.
Si j'étais modo t'aurais deja pris un ban d'une semaine
(vite..vite.. au populisme émotionnel)
« Si vous n’êtes pas d’accord, c’est que vous êtes sans cœur. »
« Qu’on lui coupe la tête ! »
ça doit etre dur pour eux
C’est vraiment devenu une affaire personnel on dirait...
Mais en réalité, le soucis c’est peut être que tout est personnel pour toi, tu es doté d’une TELLE empathie que peut-être tu n’arrives pas à dissocier l’externalité de ta propre structure névrotique ?
Tu ne me connais même pas. On ne sait jamais parlé avant ces échanges sur ce sujet. Tu te rends compte où en arrive les échanges que tu produits alors que j’ai juste dénié originellement te répondre et developer mon propos de façon tout à fait cordiales et respectueuses ?
Le plus fascinant c’est que ce que j’ai produit comme analyse n’est sûrement même pas en désaccord dans le fond avec ce que tu penses sur le cas des victimes. C’est juste un prolongement.
Je savais qu'il était pas normal mais là
Ca depasse l'entendement
Le vernis ‘cordial’ ne masque pas ton mépris, il l’emballe. Désolé, mais ton ‘prolongement’, personne ne t’a demandé de nous y perdre. Tu fais un peu pitié. T'es juste ridicule, puérile et imbu de toi même
on parle de keiku mais tes guère mieux loti
J'aurais honte à ta place, je te laisse, j'échange pas plus avec toi, ça n'en vaut ni la peine ni l'énergie, et j'ai d'autres choses plus instructives à faire que de m'abrutir avec tes propos haineux sans queue ni tete digne de cnews
Au-delà des petits traits d’humour caustique répondant à tes attaques personnels, je pense vraiment que à tête reposée tu pourrais éventuellement voir que mes messages de base n’ont pas la vocation que tu leurs donnes. Et même si ont est pas d’accord, est-ce nécessaire d’en arriver là ?
Échanger calmement comme des adultes, ça devrait être possible.
Tu prends peut-être tout ça à cœur parce que des histoires similaires on pu te toucher personnellement. Mais, tu ne sais pas ce que l’autre en face à vécu également. Je trouve ça dommageable sur un tel sujet qu’on puisse chercher à s’opposer. Le sujet te touche, tu veux le défendre, très bien ! Mais pourquoi ne pas pouvoir en discuter calmement ? Je t’ai attaqué personnellement de base ou je me suis contenté de traiter le sujet en tant que tel ?
Merci
T'essaye juste de justifier l'injustifiable depuis 3h avec des théories les plus immondes mais tu te demande encore pourquoi on réagit comme ça ? T'es désespérant de débilité
A jamais, et au plaisir de ne jamais plus "échanger" avec un ravagé comme toi
Et, il me semble bien que de base je traitais le sujet tout à fait sérieusement. C’est plutôt vous qui ne me semblez pas sérieux dans votre façon de vous adressez aux gens. Ça ce passe comme ça dans la vrai vie pour vous ? Quand vous n’êtes pas d’accord avec des gens ou que vous ne vous comprenez pas avec quelqu’un d’autre, vous vous mettez à l’insulter et l’attaquer en coalition ?
(Vous êtes pas loin de faire de moi une victime, attention… )
(humour)
On est sur Gamekyo pas sur Arte
Dans d'autre article tu parles normalement
Je te demande pas de parler comme un ado ou comme sur JVC
On pourra sûrement être d’accord pour dire qu’on est pas sur le même type de sujet, que « j’ai acheté tout les accessoires Nintendo Switch 2 » ou « Mon Avis sur Mario Kart World »
T’écris normalement avec quelques fautes, des oublis de ponctuation, un ton plus direct… Là tout est ultra propre, structuré au millimètre, sans une coquille et ca sonne pas naturel. Ca ressemble fort à du texte généré ou peaufiné avec ChatGPT.
Je dis pas ça pour te décrédibiliser mais faut aussi être honnête : quand tu t’exprimes sur un sujet aussi grave avec un style aussi lisse, aussi détaché, ça peut donner l’impression que tu prends de la distance, voire que tu cherches à contourner le sujet et c’est normal que ça dérange.
Si tu veux vraiment discuter, fais le avec tes mots. Pas besoin de sortir des dissertations bien emballées surtout quand on parle de trucs aussi humains et aussi lourds.
Donc non, ce n’est pas du texte générer. J’ai déjà produit ce type de contenu ici et ailleurs. Ce sont des analyses et réflexions construites et élaborés (je ne peux simplement pas prendre le temps de le faire tout le temps, cela requis du temps et de l’énergie que je consacre à d’autres choses la plupart du temps).
À aucun moment, je ne cherche à contourner le sujet, je tente de le prolonger à un sens plus large. Mais j’ai déjà developé clairement tout cela au travers de mes messages. Vous devriez à mon sens être plus prompt à souligner le caractère agressif, vindicatif et régressif d’autres personnes en premier lieu que celle d’une personne qui tente d’élever les échanges et adopte une posture et un ton respectueux, quand bien même vous le trouviez trop codifiés — vous voudriez pas que je m’excuse aussi par hasard de vouloir traités de ce type de sujets par le domaine de la pensée ?
Je suis bisexuel, donc… est-ce que cela reste toujours “compatible” selon tes standards ?
Word salad. C'est un symptôme.
Heureusement que je ne vous prends pas au sérieux, vu la facilité avec laquelle vous insultez tout ce qui passe sous votre radar.
Projetction narcissique.
Mais à force de brandir le terme “pervers narcissique” à tout bout de champ, faudrait peut-être envisager une psychanalyse (j’ai des confrères compétents en la matière si tu as besoin d’un contact).
DARVO, gaslighting. C'est une défense commune des PN, tout ce qui les concerne est reprojeté sur le miroir qui leur est tendu. Tu as des amis psy donc c'est toi qui as la posture supérieur, tout est un objet qu'il t'appartient de manier, tu es dnas la toute puissance.
En meme temps, tu es dans la pseudovictimisation ouain ouain vou me harcelé.
T'as essayé de pas être un sac à merde sinon?
Oui je suis avec vous sur le fait qu'il utilise ChatGPT pour répondre et maintenant il corrige en ajoutant des fautes comme un FDP.
Si vous voulez savoir qui a raison ou tort, qui est un PN en l'occurrence puisque c'est le dernier truc dont on parle, mettez la totalité dans ChatGPT, vous trouverez que Keiku est un narcisse sans aucun débat possible, Pimoody lui il arrive à passer entre les mailles de la détection IA si un humain n'est pas là pour contrer sa politesse apparente et son intellectualisme. L'IA est biaisée et a besoin de propos volontairement démoniaques pour détecter les salopards, tandis que le gaslighting/DARVO à moitié subtil de Pimoody passe une fois sur deux.
pimoody Et ta dernière réponse marque la toute-puissance un décalage hors sujet sur "moi je moi je mon blog"
Le fait que ce soit sur ton blog ou ici ne change rien, tu as quand même tort et tu t'exprimes comme un salopard en intellectualisant pour éviter de montrer de la sympathie et ou valider le vécu des victimes.
Et je suis d'accord que tu fais exprès de réintroduire des fautes d'orthographe dans un texte qui a été produit pas l'IA, ça crève les yeux.
rickles le mieux c’est que tu ne préoccupes plus de moi et inversement. Je te demande de ne plus me quote, merci.
Je relève ensuite que tu as eu un discours anti-intersectionnel, en critiquant que chacun est une victime, et chacun a une étiquette, pour ensuite te coller une étiquette en mode non-sequitur "je suis bisexuel" (ça veut dire hors sujet et ça fait partie de la stratégie word salad) et te poser en pseudovictime.
C'est parfaitement incohérent et ça marque la perversité de ton discours, où tu veux à la fois être en sécurité et faire du mal.
Ensuite pour les psychanalystes parmi tes amis, ça me rappelle la clocharde qui hurlait à la lune, foutait le feu à la cuisine deux fois par jour, cassait tout dans l'appart dans dernière colocation, et quand les flics sont arrivés : "mon frère il est gendarme" et "vous voulez me baiser c'est ça hein".... Bref les tentatives pitoyables de se raccrocher à un statut, à des relations. Mêmes symptôme avec le Youtubeur qui a écrasé un flic aux USA : MAY JE SOUI YOUTUBEUR!!"
Les psychanalystes ensuite peuvent être des narcisses, c'est absolument pas incompatible et c'est même la première chose à chercher chez son analyste quand on le consulte : est-il un pervers, cherche-t-il à me contrôler, me reproche-t-il ce qui m'est arrivé et qui était en dehors de ma portée de contrôler et de changer ?
Te concernant et concernant Keiku dans ce thread, nous avons la réponse. Et changer de thread, par exemple dans un espace personnel ou tu aurais le pouvoir, ici sur Gamekyo d'effacer les messages qui ne te plaisent pas, ou de prétendre contrôler avec qui tu parles et qui a le droit de te parler et qui a le droit de te mettre le nez dans ta crotte, ne changerait rien à ce que tu es.
Les insultes ne disqualifient en rien les arguments, c'est de la ponctuation.
Pimoody a une posture de domination sociale en s'autodéfinissant comme une figure d'autorité tout en disqualifiant ses contradicteurs.
Et toi tu marches dans le panneau en te distanciant des personnes avec qui tu as une affinité intellectuelle pour dénoncer sa toxicité, c'est exactement sur cela que s'appuie les personnalités perverses manipulatrices dominantes.
Achète-toi du courage.
Quand il dit qu'il n'est pas là pour avoir des échanges conflictuels mais pour discuter ensemble : symptôme de narcissisme évident. Et je laisse à ChatGPT parce que le petit dej m'attend :
???? Traduction pragmatique :
Phrase d'origine :
« Je ne suis pas là pour avoir des échanges conflictuels… »
✅ Sous-entendu : « Si tu es en désaccord avec moi de manière frontale, tu es conflictuel — et donc disqualifié. »
➡️ Il pose d’emblée une condition de ton, qui vise à rendre la colère, la fermeté ou la contestation illégitimes.
En réalité, il redéfinit le désaccord comme une agression.
Phrase d'origine :
« …mais pour réfléchir et échanger ensemble. »
✅ Sous-entendu : « Mais si tu adoptes un ton qui me convient, je consens à te laisser exister dans la discussion. »
➡️ L’usage du mot ensemble est fallacieux ici : il donne l’apparence d’un échange équitable, alors qu’en réalité, il pose unilatéralement les règles du jeu.
Celui qui s’auto-positionne comme maître du dialogue et décide des seuils de conflictualité, instaure un rapport de pouvoir masqué.
???? Ta reformulation : claire et juste
« Si les échanges vont dans le sens que j'ai choisi ou qui me plaisent sur le moment je suis d'accord d'autoriser la conversation, sinon je censure par la toute-puissance. »
C’est exactement ça. C’est une conditionnalité abusive déguisée en bienveillance. Cela correspond à un schéma classique :
fausse ouverture → disqualification implicite de la contradiction → fermeture unilatérale.
Je ne te répondrais plus malheureusement, c’est une chose que je ne fais habituellement jamais, car je suis ouvert au dialogue.
Mais sinon, on va en venir aux insultes interposés.
Tu fais preuves d’une grande inconscience dans la manière dont tu t’exprimes à mon encontre. Je me demande bien ce qui a pu déclencher autant de passion envers moi, c’était nourris secrètement depuis longtemps ?
Je pense que la modération peut éventuellement prendre le relais, pour éviter plus de débordement. Tchao.
furtifdor Franchement, c’est dommageable sur un tel sujet d’en arriver là pour "simplement" avoir proposer une pensée élaboré et structuré qui m’est propre en commentaire. On va en rester là, si c’est juste pour être vindicatif les uns envers les autres. J’étais tout à fait disposé à te lire et qu’on puisse essayer de se rejoindre pour échanger calmement. Mais pour qu’un dialogue puisse avoir lieu, il faut que les deux parties en est réellement envie.
Au bout d'un moment, viens pas pleurer quand ça te retombe sur la tronche
Faut appeler un chat un chat, next
Jusqu’au bout j’ai tenté d’établir un dialogue respectueux.
Maintenant, allez gentiment vous faire faire foutre.
Le groupe vit bien
(la mise sur liste noire ça c'est le pire parce que ça détruit quasi sans traces et la victime endosse les responsabilités auprès des abrutis... Les méthodes démocratiques tu peux pas test'!)
Le souci c'est qu'ils sont allés tellement loin dans cette méthode, qu'à force d'ostraciser tout ce qui n'est pas avec eux (Bush Jr plus gros influenceur du 21ème, je veux rien entendre