Au commencement les États-Unis créèrent ARPANET en 1968, puis ARPANET s’est développé. Il s’est répandu par delà les frontières du Nouveau Monde et s’est ouvert en 1994 au grand public sous un autre nom : Internet. Il s’est librement propagé jusqu’à transformer nos sociétés, et contracter le temps et l’espace autour du globe. Aujourd’hui, dans le pays qui l’a vu naître, une crainte grandit : celle d’un splinternet, une balkanisation d’Internet.
Ce concept est né très tôt. Dès 2001, Clyde Wayne Crews, alors directeur des études technologiques du think tank libertarien Cato Institute, l’évoque dans un éditorial du magazine Forbes. Un splinternet solderait la fin d’un réseau unique, universel, et libre, pour laisser place à plusieurs internet épousant les frontières des États. Cette notion est, dès sa naissance, floue. Elle peut simplement désigner l’interdiction pour des raisons politiques ou commerciales de certains sites ou services sur Internet, rendant l’expérience de navigation différente d’un pays à l’autre. Au sens plus large, elle englobe des aspects techniques, prenant en compte les capacités technologiques d’un État à mettre en place son propre réseau, indépendant d’Internet. En 2018, lors d’un événement privé, Eric Schmidt, ancien PDG emblématique de Google le reprend à son compte. Il pronostique, pour l’avenir, “une bifurcation entre un internet dirigé par les Chinois et un internet non chinois dirigé par l’Amérique”.
Suite :
https://siecledigital.fr/2021/01/19/hegemonie-americaine-internet-splinternet/
Toutes les télécommunications passent par des pipelines depuis des décennies. Le télégraphe n’empruntait déjà certains de ces traces/ chemins.
Les satellites ne sont que des ballons sondes météorologiques ou de relevés positionnels et métriques pour prendre des photos ou dans certains cas faciliter la communication entre militaires au sol.
Le reste est un joli moyen de détourner du pognon auprès des contribuables et de l’or, et oui il fait des feuilles d’or pour « l’espace ».
Un réseau local mais à portée nationale sans moyen d’accéder à l’internet mondial.
Techniquement c’est possible, mais faudrait être fou et avoir la main mise sur toutes les entreprises du pays et donc sur tous les flux de données, de matériel, de matière première, de nourriture et d’humain.
L’idéologie dominante progressiste versus l’idéologie russe et chinoise notamment. Le reste des pays du monde est malheureusement soumis a la domination occidentale via le procès de consommation et de production.
ça me semble logique comme développement.
En tout cas les politiciens ont en générale condamné Twitter pour son action contre Trump.
Des changements sont à venir d'un point de vue législation.
Pour moi c'est une aberrance, comme si Twitter était un outil de l'état...
C'est un put1 de service privé, gratuits d'utilisation mais c'est fait pour faire du fric avant tout
On continue de singer les Etats Unis pire, les pays émergeants veulent polluer comme ça leur chante et balancer du plastique maintenant qu'ils ont un mode de vie de gros beauf comme nous.