In Game
Ayant déjà profité de cette démo lors de sa mise à disposition sur Xbox Live Japonais il y a peu de temps, j'ai décidé tout de même de proposer mon avis maintenant qu'elle est disponible de tous.
Dés le lancement du premier des deux niveaux disponibles ont se rend compte que c'est une pure claque dans la gueule qu'on se prend. C'est très beau, détaillé et fluide. Le gameplay reste inchangé par rapport à l'opus précédent. Donc les qualités et les défauts sont les même. Un peu rigide dans son déplacement, le joueur peut être un peu handicapé par la vitesse assez lente de la caméra. Le côté survie est par contre beaucoup plus poussé dans cet épisode. Les munitions sont rares et il faut pas mal de balles pour dézinguer un ennemis (ne parlons même pas des mini-boss). Heureusement que la coopération a été apportée dans ce Resident Evil. Voila le GROS point fort du jeu : sa coopération. Tout seul c'est le pied, mais à deux c'est la branlet... classe. Les interactions ne sont pas trop mal pensées, j'espère que Capcom nous proposera des passages d'anthologies avec ce système.
Nous voila déjà un peu plus avancé sur l'état de la série. Les bases du précédent opus sont bien implanté et propose une expérience de jeu assez sympathique. Le mode coop est pour moi la seule grosse innovation que nous propose Capcom et c'est un peu dommage. On est en droit d'en attendre un peu plus de ces messieurs. Après reste à juger le solo dans son intégralité et voir si, comme le 4, il nous réserve des moments inoubliables. Rendez-vous début mars.
posted the 01/28/2009 at 03:06 PM by
maxou06
In Game
Parmis les jeux que j’ai eu à Noêl, traîne un certains Dead Space. Jeu d’EA qui apparemment à créer la surprise. La seule chose qui m’a poussé à l’acheter est son succès critique. Tout le monde l’acclame. Alors que je suis au chapitre 10, je vais donner mes impressions sur le phénomène qui a emparé les journalistes du jeu vidéo. Cette « critique » me permet également d’inaugurer ma 1ère rubrique : In Game.
Vous êtes Isaac Clarke, ingénieur, envoyé sur l’Ishimura pour découvrir se qu’il s’est passé à bord. Couloir vide, aucune communication. Vous ne vous doutez pas que vous venez de débarquer dans l’enfer… en plein milieu de l’espace. Voila pour le pitch du jeu. Il est évident qu’on va se retrouver devant un survival-horror (suffit de voir la jaquette) mais est-ce un jeu d’horreur digne de ce nom ? Oh que oui ! Déjà, graphiquement, Dead Space en fout plein la gueule. Tout est détaillé, fin et sublime. L’un des plus beaux jeux de cette génération à mon avis, avec Gears of War 2 (on va attendre Killzone 2 tout de même). L’ambiance est tout bonnement parfaite. Le jeu de lumière est parfait, la bande-son vous laisse sur le cul, la mise en scène est exemplaire, les ennemis nombreux, un peu trop même, et le sang est au rendez-vous. Car il ne faut pas se fier aux apparences, Isaac a sûrement été en stage avec Marcus Fenix tant le nombre de membres qu’il découpe est pharamineux. Bon, faut dire que vous êtes bien aidé par les armes (laides) mises à votre disposition. Trancheur, lance-flamme, mitraillette, pistolet, la classe quoi. Au fur est à mesure de l’aventure, vous récoltez des points de compétence que vous pouvez attribuer aux armes pour les améliorez, le système est pas trop mal. L’armure aussi évolue su vous le voulez. Il suffit d’avoir de l’argent et les plans pour en avoir la possession. Je pensais que juste la première était laide, mais non, elles le sont toutes. Par contre, un bon point revient à la jauge de vie placée dans le dos de Isaac, qui permet à la fois de n’afficher aucune jauge dans les recoins de l’écran et d’apporter un peu de classe à l’armure. Dommage tout de même que le côté survie ne soit pas aussi présent étant donné que le nombre de munitions que vous allé trouver est suffisant pour avancer sans problème.
En revanche, les développeurs ont l’esprit détraqué, ces malades vous foutent des fois dans un vieux couloir tout étroit avec 4 ou 5 monstres sur la gueule. Comment dire… sur le coup sa laisse perplexe. Il est toujours possible d’utiliser la stase afin de les ralentir et de tenter de bouger de cet immense merdier mais c’est parfois difficile de se retrouver. Les bourrins en herbes vont être gâté par les boss, gigantesque mais peu coriace où le but étant de tout simplement bourriner à mort jusqu’à que votre assaillant lâche prise. Dommage qu’il y en est peu. Si Isaac peut stocker beaucoup de chose dans son armure, il ne sait ni parler, ni s’accroupir. WTF ? Là où les développeurs ont tentés de marquer un bon point c’est du côté de la variété. D’un côté on a droit à des phases sans gravité ou sans air réussie et prenante et de l’autre, le jeu va vous demander de faire un nombre incalculable d’aller-retour. Alors bon, ils sont gentils chez EA mais bon, sa casse les burnes de se taper 100 fois les mêmes couloirs pour aller chercher la clé pour ouvrir la porte qui va être bloqué une fois la clé trouver. Heureusement que les trajets ne sont souvent pas trop longs. Je ne vais pas trop pleurer vu que l’immense idée d’intégrer une carte avec le trajet est présente.
Je ne vais pas nier l’énorme potentiel du jeu, avec son ambiance prenante et réussie, ses graphismes sublimes et sa bonne dose d’hémoglobine mais je ne vais pas non plus crier que ce soft est le jeu de l’année. Je vais tout de même le terminer car je prends mon pied dessus mais la répétitivité de certains chapitres m’a fortement ennuyé et ne m’a pas trop donné envie de progresser. Fort heureusement j’ai continué et la suite propose des passages d’anthologies. A voir, si les 2 chapitres restant vont me faire changer d’avis…
posted the 01/25/2009 at 02:08 PM by
maxou06