Spiders commence à payer le prix de ses étranges choix fait sur GreedFall II
Pas grand-monde en occident ne semble parvenir à échapper aux licenciements, et c'est maintenant les français de Spiders qui en paye le prix avec un plan de coupes évoqué par l'un des employés (Erwan Perrin, via LinkedIn), sans précisions autre que l'impact notable sur les équipes d'animation. Et c'est assez ironique quand on sait que Spiders n'était déjà pas très réputé en la matière.
Une restructuration qui passe d'autant plus mal moins d'un an après une hausse des salaires et une courbe jusque-là dans le positif au niveau de la taille des effectifs, mais c'était sans compter Greedfall II : alors que le premier fut le plus gros succès de l'histoire du studio, toutes les erreurs ont été accumulées pour la suite, d'un choix d'une Early Access (pour singer Baldur's Gate III?) à une sortie bien trop précipitée même de cette façon vu la masse de bugs, jusqu'à l'étrange choix de nous faire une Bioware à l'envers. Oui, nous sommes passées du temps réel à quelque chose proche de Dragon Age Origins (mais en moins percutant), et le public n'a visiblement pas validé : un pic de 375 joueurs depuis un an (4 actuellement…) et seulement 55 % de reviews utilisateurs dans le positif.